vendredi 22 décembre 2006
"Nouveau" blog :
J'ai remis tous les billets précédents, sauf un (je vais y revenir). Malheureusement atteint d'une monumentale flemme je n'ai pas eu la force d'ajouter les commentaire 1 par 1, moi même (je n'ai plus qu'a réclamer un transfert de base de donnée entre les espaces Microsoft et Blogger...).
Donc j'ai supprimé un billet, parce que même si j'ai fais un copié collé basique j'ai relu certains morceaux, et certains me sont apparus bien trop ternes et j'avoue avoir eu la volonté un cours instant de préservé une certaine image (faussée et encore) de ma personnalitée. Mais pour autant la plupart sont restées. Nous sommes dans le vrai donc, ne vous inquietez pas, les bisounours sur mon blog ce n'est pas pour tout de suite.
De même quand j'aurais l'occasion je modifirais le template du blog, j'adore tellement l'intégration, j'en fais pas assez au boulot alors...
Ah et bonnes fêtes de fins d'année à vous ;)
Pour les autres
nouveau billet donc, pour faire rejaillir (tout de suite...) la vie sur mon blog. Sujet de ce jour : les groupements humains (et non pas les drames de la non sauvegarde de données / progressions...post que je pourrais m'adresser...) .
Les groupements humains, pourquoi ce sujet, et bien très simplement car j'en suis le témoin (et toi aussi public, dans ton chez toi) en ce moment, dans ma formation, où commençe à se former les groupes plus ou moins bien agencés et moyennement définis d'ailleurs, puisque certains encore retournent leurs vestes...
Bien que je n'ai pas d'explications exactes à ce phénomène récurent chez l'être humain, je m'attriste un peu de l'étroitesse d'esprit qui doit très certainement menée à ce genre de clivages (dont je suis aussi l'auteur comprenons nous bien).
Au début j'avais pensé que c'était étroitement lié à la maturité des protagonnistes, mais POINT DU TOUT, ça n'a rien à voir, le gens est con (moi aussi, toujours) et le gens suit toujours le même schéma qui le rassure et lui évite (enfin il le croit) certaines déceptions. Hors on est jamais à l'abri d'un "ami" qui vous lâche ou d'une personne qu'on croyait proche et qui vous méprise.
Ce phénomène est encore plus visible lorsqu'on prend de l'âge et la conscience même d'une forme de pouvoir sur autrui (il faudrait reconnaitre à l'enfant qu'il fait souffrir autrui par pure volonté de s'affirmer, et non pas à cause d'une volonté d'agir à mauvais escient et donc de blesser - NB : l'enfant est con aussi, mais ça c'est jubilatoire). Plus ça va donc, plus les groupes se renforcent, s'auto rassure. D'ailleurs c'est très généralisé, autant je peux le voir dans ma classe, mais c'est aussi visible dans les groupes politiques, ou dans les secteurs marketings : des cibles prédéfinis facilement atteignables (dispersé vous pour mieux règner!).
C'est aussi, je crois, étroitement lié à la volonté individualiste de nos sociétés, qui fait (qu'on fait) que chacun voit le bout de son nez et qu'il est bien certain de le maîtriser, lui au moins, devant la décadence alentours...En conséquence de quoi on se moque bien de blesser ou égratigné autrui (moi y compris toujours) parce que "merde quoi, j'ai déja du mal à gérer ma propre vie". Enfin ça c'est ce qu'on croit tous ;)
A dire vrai et à la relecture de mon billet, il me semble que cet état de fait puisse aussi être mis en parallèle à la volonté d'affirmation, serait-ce à dire que nous restons quelques parts des "enfants" (en omettant de garder toute la part de magie inhérente à cette période...).
Enfin bref, une réflexion vaine comme je les aimes tant, parce que je suis un gens... ;)
Pour les collègues..
Constat
interrogationS
Alors oui et de deux la suite de mon petit essaie merdico fantastique verra le jour, chose promise (même sur le net) chose due.
En contrepartie, ce post pour signifier mon incompréhension face à certaine chose, si vous avez des réponses (pas 3 pages hein svp - dédicace...) n'hésitez pas...
1 - Je ne saisi pas l'intérêt que certaines filles, sur le site suivant www.le-trombi.com, ressentent le "besoin" de s'afficher d'une façon plus ou moins habillé, dans des décolletés toujours plus plongeant, on penche vers un porno chique un peu épuré...c'est du grand délire...
2- je ne comprend pas que toujours des filles s'habillent comme des poufs (et s'étonnent qu'on les considère comme tels) pour ressembler à des ersatz de modèle...
3- je ne comprend pas comment les gens font pour ne pas péter un câble dans le milieu professionnel quand on voit l'hypocrisie constante qui y règne (je DETESTE l'hypocrisie), j'ai été à une réunion avec pleins de professionnels hier et c'est à peine si les commerciaux se roulaient pas des pelles entre eux. Un des leurs m'a presque finit par penser qu'il connaissait ma patronne depuis longtemps...ce qui n'était pas le cas...on fait pas copain copain avec des inconnus..Surtout là dedans..RIDICULE, j'étais super mal à l'aise, j'avais envie de leur crier "non mais, le costume là, trois pièces, cravattes bleue, non seulement c'est de mauvais goût, mais en plus ça ne cache en rien vos afflictions internes et ce que vous restez aux yeux de tous assis sur le trône...".
4- Réflexion précédente qui me fait arriver à celle-ci : si je suis la logique d'un pente douce qui se suit naturellement je vais finir - naturellement toujours - par devenir un vieux con materialliste à costume trois pièces...et merde...je vois bien qu'avec l'arrivé de l'argent, et du boulot, on fini par oublier certaines valeurs, certaines pensées, on se dit qu'acheter cet iPod à 350€ va nous apporter un "bonheur", un plaisir tout au plus, mais purement matériel, et j'ai assez souvent été dans cette optique sans que cela me dérange outre mesure. Mais ça bloque aujourd'hui, je vois le démon materialiste se profilé au loin, et j'ai peur que son insinuation dans ma vie soit plus fourbe et moins perceptible que je le pense. J'y réfléchis deux minutes, et non, 350e dans un lecteur mp3, ce n'est pas utile...mais qu'est ce qui est utile dans ce cas là...le matérialisme c'est LA solution de facilité ! Les choses insaissisables étant ce qu'elles sont, on préfèrera se rabattre sur le costume trois pièces et finir comme Edward Norton dans Fight Club...
sur ces paroles encourageantes tâchez de ne pas vous pendre dans le week end (en plus il va faire beau - enfin à Nantes moi je gère pas les autres villes, et les autres pays même...). Bon week end ;)
Ah et si vous voulez que j'écrive sur un sujet, un truc, un bidule (tout sauf la cristalisation financière des pays importateurs de bois flotté) n'hésitez pas (toujours sans le pavé de 3 pages, je vais faire sauter la base de données sinon !).
Réponse à Julie
Suite au message de Julie (qui finit souvent par être plus long que mes propre posts – déjà assez conséquents) je vais faire un "petit" suivi type dialogue, pour lui répondre, et pour vous faire profiter de notre intelligence (enfin surtout la sienne) petits parias que vous êtes (insérer ici un rire diabolique). Je vais donc entrecouper ma réponse de citation du texte de Julie (que tout le monde n’aura pas reconnu).
« Je suis d'accord sur le fait qu'il faille avant tout donner aux élèves l'envie d'apprendre, plutôt que de les assommer de culture. Maintenant, on commence à avoir envie d'apprendre en apprenant... c'est con dit comme ça, mais quand on ne sait pas quel bénéfice tirer de l'apprentissage d'une matière quelle qu'elle soit, on n'a pas envie de s'en donner la peine - or, le bénéfice en question, on ne va pouvoir le trouver qu'une fois qu'on aura appris quelque chose... donc c'est quelque part un cercle vicieux... A la fac, j'ai des tonnes de trucs à apprendre par coeur, et en première année je hurlais contre ça. Mais voilà, une fois que je l'ai fait, je me suis rendue compte que ça m'apportait énormément, parce que ça me permettait de pouvoir réfléchir, débattre sur des sujets que je connaissais... car comment réfléchir sur quelque chose sans en connaître les fondements ? »
Si comme tu le dis on apprend à aimer apprendre en apprenant comment ce fait il que tous les élèves (qui ont tous appris un jour) ne soient pas dotés de la même volonté que toi ? J’entends par là que l’école ne fait pas tout, la personnalité et l’encadrement parental y est pour beaucoup dans cette « affaire ». Comme toute problématique elle comprend plusieurs paramètres.
« En histoire ou en géo, on nous demande des disserts. Mais comment pondre quelque chose qui se tienne sur tu ne sais pas les bases, à savoir oui les dates, les pays, etc ? Je sais bien que j'ai été la première à gueuler parce que c'est fastidieux d'apprendre des trucs comme ça, mais c'est uniquement comme ça qu'on réussira après à avoir une pensée construite sur un sujet. »
Je doute malheureusement que l’apprentissage de dates/noms nous poussent à obtenir un raisonnement logique et construit, j’en veux pour preuve que je suis une quiche en dissertation (rappelle toi en philosophie) et que pourtant j’arrivais bien à retenir mes dates pour peu que j’ai eu la volonté de les retenir (ce qui compte pour beaucoup, sans compte l’attrait qu’on a ou non pour la matière). Je souligne d’ailleurs que cette nécessité de « bases » fait suite à la logique de l’enseignement qui veut plus ou moins prouvé une continuité. Ainsi on se voit réutilisé (plus ou moins…) les connaissances acquises, ce qui est en revanche très bon pour le fonctionnement de la mémoire, et donc de tout apprentissage. De surcroît ça fait écho à mon exclamation première « a quoi bon apprendre tout cela si ce n’est jamais réutilisé ». Et bien dans le cadre scolaire ça l’est, mais ensuite ?!
« Je voulais aussi ajouter que les profs, certes, ne sont pas tous géniaux, loin de là. Ceci dit, on oublie bien souvent que leur métier est super difficile... Il faut arriver devant une classe de parfois 30 élèves et les faire t'écouter, faire ce que tu demandes, etc. C'est non seulement difficile de préparer un cours, mais difficile aussi de le mettre en oeuvre, car il faut faire de la discipline. Et encore plus dur que la discipline, c'est la pédagogie... Or le problème, c'est que ça ne s'apprend pas, la pédagogie. Il y a autant de manières de faire que d'élèves. Tel prof ne passera pas avec tel élève, mais avec un autre, si. C'est tout le problème lorsque l'on est confronté à un métier qui met face à face deux êtres humains : ça n'a rien d'une mécanique bien huilée, c'est extrêmement plus complexe. Et c'est pour ça que je n'ai pas (plus ?) envie de jeter la pierre aux enseignants qui, pour la plupart, essaient de faire leur job le plus convenablement possible, mais sont fatalement confrontés à l'impondérable que sont les relations humaines. »
Je n’ai jamais jeté la pierre sur les professeurs qui ne sont pas à tenir pour responsables de l’échec de tout un système, on n’accuse pas un rouage coupable du dysfonctionnement de toute une machine. Je reconnais très volontiers que certains professeurs font un travail formidable et d’autres sont moins pédagogues, mais c’est partout le même cas. D’ailleurs je n’ai jamais parlé des professeurs qui sont en fait le dernier maillon de la chaîne de l’éducation si je puis dire, en ce sens ils sont encore moins responsables des défauts du système d’éducation.
« Venons-en maintenant à l'autre partie de ton coup de gueule : tu dis qu'on devrait apprendre à l'école des choses nécessaires et utiles. Déjà, il faudrait que tu définisses ce que tu entends par là, car il me semble que ce sont des notions où chacun va pouvoir avoir sa propre définition. Pour certains élèves qui veulent devenir par exemple puériculteurs (ça se dit au masculin ?), le plus nécessaire serait d'apprendre comment s'occuper des enfants... Ceci dit il me semble que pas mal de ces élèves-là passent malgré tout par le collège (et éventuellement le lycée mais là je ne suis pas sûre) où ils vont effectivement apprendre des choses qui ne correspondent pas à leur projet professionnel. C'est comme ça, il y a autant de nécessités que d'élèves, et on peut difficilement réussir à combler tout le monde...
L'école apprend la vie en société, l'école apprend la rigueur, l'école apprend la discipline. Ce sont des choses qui me semblent primordiales pour des êtres en passe de devenir des adultes. Ce sont des valeurs qu'ils doivent connaître et finir par comprendre. »
Evidemment que ces valeurs sont fondamentales (aies-je seulement supposé le contraire ?), en revanche bien qu’il soit nécessaire d’apprendre la vie en société, à ce propos d’ailleurs on constate que l’éducation civique à été relégué au rang des vieux outils. Ce que je trouve navrant c’est que ce système s’étale trop sur la durée, et ne correspond pas aux réalités du travail. Au collège on devrait avoir appris le nécessaire pour pouvoir s’insérer dans une vie active, considérant les acquis premiers obtenus (lecture, comptage accompagnés des aspects de sociabilisation)…
« Tu parles d'une école qui aiderait à mieux connaître le milieu professionnel... Pour ma part, je n'y suis absolument pas favorable. Pourquoi ? Parce qu'il existe les BEP, CAP qu'on peut emprunter après la 3è, et qui permettent de rentrer pratiquement directement dans la vie active. Il y a les bacs professionnels, qui pareillement permettent de s'orienter de façon plus professionnelle que si on suivait un enseignement général. »
Ces diplômes que tu cites sont totalement dénigrés par le milieu pro, je le sais parce que mon frère et certains de ses amis fait un CAP et que les échos que j’ai sont pour le moins déprimants. Ces diplômes sont considérés comme des voix de garage que les professionnels ne tiennent absolument pas pour acquis puisque là encore l’adéquation avec la réalité est limitée. D’autant que le collège ne prépare pas à une insertion dans le milieu professionnel.
« L'enseignement général au lycée n'est pas exempt de défauts, mais il est loin d'être si mauvais. De toute manière, les professeurs le disent eux-mêmes : le lycée est une formation qui a pour but de diriger les élèves vers les études supérieures, et non pas vers la vie professionnelle. C'est comme ça, si ça n'est pas ce que veut un élève, il peut très bien se diriger dans une autre voie. Je sais qu'il est compliqué de savoir ce que l'on veut à cet âge-là - mais n'est-ce pas une chance que de pouvoir continuer à se cultiver, à apprendre lorsque justement on est un peu perdu et qu'on ne sait pas vraiment où aller ? Le lycée général permet aux élèves de mûrir, d'apprendre à se connaître, et par la suite ils peuvent choisir en toute liberté la voie qui leur convient - et l'éducation nationale n'est en rien responsable si certains élèves perdus font des mauvais choix en ce qui concerne leur orientation. Là encore, il s'agit d'êtres humains, donc de choses extrêmement complexes. On peut avoir 30 ans et se rendre compte qu'on a gâché une partie de sa vie à faire quelque chose qui ne nous satisfait pas pleinement... Après, chacun évolue à sa manière, et l'école ne peut pas résoudre tous les problèmes. »
C’est une chance si l’on considère qu’être ballotté entre les classes est utile…et puis on se cultive certes, mais on se cultive pourquoi ? On apprend pour oublier au final… Dans tous les cas il y à un vrai problème de fond qui est la maturité des élèves et qui comme tu le dis varie énormément, ne permettant ainsi pas d’établir une formation à la carte. Mais il y à des domaines, et ça c’est facile de le définir. Et tu me parles de gens qui n’ont pas trouvé ce qu’ils voulaient du premier coup, ça n’a rien de dramatique en soi, mais c’est un signe selon moi que quelque chose cloche, peut être pas l’éducation nationale, peut être la maturité ambiante…
Moi-même j’ai été ballotté entre STI, L, et d’autres formations, pour atterrir là où j’en suis (avec aucune garantie toujours), il y a un manque d’information, les bacs ne sont même pas en accord avec une éventuelle poursuite d’étude : un S plus doué qu’un L en informatique ? Faux, je l’ai vu à l’IUT, il y à des facilités, mais au final on peut voir un L plus doué. Et le pire c’est qu’on bloque l’accès à certains élèves pour des écoles à cause d’un bac (qui ne justifie absolument pas les capacités d’un élève !). Je cite c’est exemple afin d’illustrer le fossé qui existe entre les formations déjà, et les réalités professionnelles en plus.
« Je souhaitais aussi ajouter quelque chose par rapport au système allemand. Je le trouve pour ma part assez mal fait. Je m'explique : je ne pense pas qu'il faille décider pour les élèves selon leurs notes. En Allemagne, si tu es faible, tu ne vas même pas au lycée et on t'oriente directement vers une filière professionnelle. Tu n'as simplement pas le choix. Or, il arrive que des élèves faibles veuillent continuer, aller au lycée, pour y apprendre de nouvelles choses ; alors que certains élèves plus doués souhaiteront au contraire suivre une voie professionnelle pour exercer un métier manuel par exemple. Pourquoi décider arbitrairement pour les élèves ? Pourquoi les déclarer inaptes à apprendre, à découvrir, si tel est leur choix ? Franchement, je préfère mille fois notre système (avec tous les défauts qu'il peut avoir), car au moins il laisse le choix. »
J’ai cité l’exemple de l’Allemagne dans le sens où il tend à se rapprocher le plus rapidement possible des réalités du marché, tu me connais assez bien pour savoir que je suis contre ce type d’élitisme…tout système est perfectible, si celui de l’Allemagne était un modèle il serait accepté partout.
« J'en parlais l'autre jour avec un collègue au collège, qui a fait un CAP (si je me souviens bien). Pour lui, tous les élèves devraient au moins aller en seconde pour acquérir un minimum de culture générale. Et je suis assez d'accord avec lui. Je trouve dommage qu'aujourd'hui, les gens aient si peu de curiosité intellectuelle. Les maths, c'est rébarbatif oui, mais c'est comprendre comment notre monde est formé. Pareil pour la physique et la bio, c'est assez extraordinaire quand on y réfléchit un peu. Je ne parle même pas de la littérature car, tu te doutes, je trouve ça d'une importance capitale lol... Chacun son avis, je sais bien, mais la culture permet de former la pensée, de permettre à des adultes en devenir de penser par eux-mêmes, de savoir réfléchir. Dans les pays où l'on oriente tout de suite les enfants vers le travail, on se retrouve avec des populations soumises, incapables de se révolter, car incapables de réfléchir... L'école permet ça. L'école ouvre l'esprit, l'école nous aide à voir le monde différemment. L'école c'est aussi confronter ses opinions à celles des autres, c'est découvrir les différences. C'est savoir que des gens se sont battus pour notre liberté. C'est apprendre que d'autres ont pensé comme nous, ou alors différemment, il y a de cela des siècles et l'ont même mis dans des livres. C'est découvrir le monde, le nôtre, celui de nos voisins, de nos ancêtres. Apprendre, c'est pour moi la liberté totale, l'épanouissement de l'esprit, la jubilation même de la connaissance... »
Il y à méprise :D Je n’ai jamais dis qu’il fallait SUPPRIMER l’école HEIN !! La remodelé est bien plus juste…je ne dénigre pas les aspects très positifs de cette institution, elle joue un rôle primordiale et nécessaire mais je crains qu’on se repose un peu trop sur cet aspect de formation à être « adulte » dans son esprit tout du moins.
Certaines matières sont très importantes, je trouve plutôt dommage de supprimer la science de la vie car je trouve très intéressant, et plus utile de connaître le fonctionnement de notre monde que les théorèmes de mathématiques qui, avouons le, sont plus difficiles pour briller en société…
Les choses primordiales me demandes-tu, ce sont le français (je suis sur que ça te fait plaisir J), des bases mathématiques, des bases historiques et géographiques (par exemple quelle est l’utilité de connaître la superficie du japon par cœur, et le nombre d’hbts…ou bien les principaux centre d’activités, qu’on à tous appris, et qu’on à tous plus ou moins oublié), des bases scientifiques sur notre monde et, plus tôt de la PHILOSOPHIE…ça c’est une bonne matière utile et constructive et qui peut nourrir dans le futur un intérêt particulier.
Comme je le disais à l’instant tous les élèves étant doté d’un bac n’ont pas la curiosité intellectuelle que tu as, ceci prouvant d’ailleurs que d’autres facteurs entre en jeu. Démontrant par là que l’école n’est pas essentiellement le facteur qui donne envie d’apprendre. Cela dépend aussi de l’éducation reçue et du rapport que les parents ont à l’école et de celui qu’il construise pour leurs enfants.
« Alors, même si je comprends ce que tu veux dire, je ne pourrais jamais être d'accord. Parce que franchement, qu'est-ce que je me serais emmerdée si on m'avait empêchée de découvrir tout ça... si on m'avait dit, au lieu de m'apprendre à analyser CANDIDE, "voilà comment on fait un CV, voilà comment il faut se comporter en entreprise". La réalité, c'est qu'on apprend le milieu professionnel en y entrant, et à moins de vouloir remettre les enfant au travail, il faut de toute manière attendre qu'ils aient 16 ans avant de leur permettre de travailler. Et d'ci à 16 ans, il n'y a qu'à leur ouvrir l'esprit et leur apprendre à réfléchir... »
Tu fais un amalgame grossier je n’ai jamais dis « transformons l’école en centre d’éducation pour futures cadres », pour ça il y a les études supérieurs ! Quand c’est nécessaire… Et je te serais gré aussi de ne pas m’attribuer des idées qui ne sont pas les miennes, comme le travail des enfants !!! Remodeler ne signifie pas supprimer…. Modifier ne signifie pas entériné, le changement peut être positifs, rappelle toi notre débat avec JMV (notre prof de philo en TL) sur l’homosexualié.
Je souligne par ailleurs que ton cas est TRES particulier, j’avoue être très impressionné par ta soif de culture, l’envier même. Mais je crains aussi que tu risque de déchanter, à moins que ton milieu professionnel te permettes de profiter de tous ce que tu as appris (et c’est plus que souhaitable et te connaissant c’est ton projet) dans le cas contraire je doute que le « supplément au voyage de Bougainville » puisse t’obtenir un emploi…
Pour conclure je citerais volontiers notre ami commun, Aristote, alias la star de la médiété. En clair il existe un juste milieu dans me propositions, dans les tiennes aussi je suppose, et donc dans l’école, un juste milieu qui mêlerait l’essentiel de l’école (l’aspect d’apprentissage de la « vie »), avec ses bases indispensables et un suivi scolaire, une continuité plus en rapport avec la réalité professionnelle. Car plus ça va plus on va vers des bac +10 n’ayant jamais la garanti d’obtenir un emploi…
Coup de gueule numéro 1564 sur une liste encore longue !
4036 l'odysse de l'espèce
« Quart 5 – 137eme jour de l’atra[1] 4036 – bien que j’ai conscience que mes propos portent un coup aux mœurs maintenant établis je vous serais gré de ne pas censuré ces mots ». C’est ainsi que je commençais mon journal, chaque jour qui venait à moi, la pression ambiante m’invitait à être de plus en plus méfiant, et le contrôle effectué par le conseil se faisait de plus en plus pressant. Je pensais que ça sauverait une partie de mon âme de conserver ces quelques bouts de tissus mémoriel.
[…] 3 jours que je ne dors plus, les vieux somnifères que j’ai trouvé fonctionnent aussi bien qu’une infusion de dans le temps. Le bruit des movers[2] m’empêche de trouver un bout de sommeil dans le dédale de tôles et d’acier plus ou moins savamment agencé. « faut qu’ca ressemble à une maison » avait insisté l’architecte…un mec qui n’a sûrement jamais du voir une vraie maison de sa vie. De toute façon la ville basse n’avait rien de commun avec le reste des tours studieuses, toutes en hauteur, la magnificence de l’homme en un tas de béton et de métal. C’était un autre monde, un quartier privilégié où l’on respectait les règles […]
Le cadre était planté, en 3000, l’avancée technologique était telle qu’elle nous permettait de voyager de planètes en planètes, on avait même eu pour projet d’en créer une de toute pièce. Et dans un soucis d’uniformisation des masses, les politiques avaient courbé l’échine devant un groupe de géants des médias : le conseil. Considérant le pouvoir de ces lobbies déjà immense, leur règne s’est imposé de lui-même. Cet amas de personnages tous plus hauts placés les uns que les autres, bien conscients de leur emprise, ont maîtrisé en quelques années les milliards d’habitants de la planète. Tout, ou presque, se devait d’être contrôlé et si besoin était supprimé. L’invasion des médias (et donc du conseil) avait fini par convaincre les quelques récalcitrants du bien-fondé de certains choix. On avait du se faire à l’idée que le terme « année » n’existait plus, et que pour un soucis d’efficacité (comme ils disent…) les heures deviendraient des quarts. De même la monnaie était maintenant le natra, une équivalence entre l’euro et le dollar de l’époque. Dans tous les cas l’hégémonie du conseil avait fini par mettre tout le monde d’accord (et ce au prix de certaines têtes pensantes du monde). C’est en 4000, devant les protestations qui se faisaient de plus en plus intenses, que les dirigeants prirent la décision d’accorder aux principaux distributeurs alimentaires le droit d’ajouter dans les substances nutritives des antalgiques et autre anxiolytiques, dire qu’a une époque l’état se battait pour éviter un usage abusifs de ces substances. Ne pouvant guérir le mal qui règnait parmi la population il fut plus aisé pour eux d’endiguer cette vague de contestation en lobotomisant les quelques personnes qui protestaient encore. Aujourd’hui on ne déprime plus, on se suicide directement, plus de phase « entre deux » comme disent les scientifiques. Evidemment ces décès sont passés sous silence via, évidemment, les médias. Parmi le chaos qui s’installe doucement, et le contrôle quasi dictatorial du conseil moi et un petit groupe de « dérangeants », comme les autorités nous appellent, vivions grâce à une chaîne d’entraide cachée dans les tréfonds de la ville. Moi c’est Kalro, j’ai 24 ans et ça fait 6 ans que je tiens ce journal « intime ». On est une bonne vingtaine à restez soudés face à la censure, plusieurs groupes sont disséminés dans le monde créant ainsi un réseau plus ou moins dense de « dérangeants » (et puis dérangés aussi d’après la doctrine établie). Certains d’entre nous sont plus actifs que d’autres dans le but de rétablir une once de vérité dans tout ce désordre propagandesque, à l’image de Nalka, une jeune fille de deux ans mon aînée, qui malgré les combinaisons en polyuréthanne reste très attirante (et ce parce que nous avons la chance de ne pas être victime de la médication forcée), on devine très aisément des formes qui en disent long, et sûrement pas assez selon les gars du groupe. Mais je ne l’ai jamais regardé ainsi, et elle le sait, cela doit faire 2 ans qu’on se connaît et qu’on travail main dans la main pour rendre une vraie liberté au monde. A propos de travail, j’oubliais, je suis encore en étude pour le moment, enfin, pour dire la vérité j’ai été supprimé de la liste d’autorisés (les quelques privilégiés à avoir le droit de suivre des « cours »). Une histoire bête réellement, c’est lors d’un cours de français (on a peu à peu vu disparaître certaines matière comme la philosophie tandis que d’autre refaisaient surface, l’éducation civique prenait un air d’instruction spartiate) que s’est arrivé, à la question d’un professeur « comment voyez vous l’avenir ?», je me suis levé et répondu « pire » d’un ton tonitruant… je n’ai pas attendu qu’on me vire, je suis partis de moi-même en grommelant « ouais ouais, je sais, pas de pessimisme forcené, blabla ». J’avais préféré prendre les devant, il y à de ça quelques années, un homme était sortit de chez lui un panneau sur le corps avec écrit « vivez » en lettres capitales, il a été découvert par notre groupe que l’individu s’était fait abattre de sang froid par les autorités. Le poisson avait ensuite été noyé par la télévision, la plupart des gens n’en ont jamais rien su, et les quelques personnes au courant ont vite suivi le cours normal de la « vie » grâce aux cachets distillés dans la nourriture, ignorant ainsi l’aspect totalement liberticide de cet événement. Depuis lors c’est grâce aux « véritables » (c’est ainsi qu’on s’est surnommé) que je survis dans la ville basse, pas vraiment à l’abri du besoin, mais à l’abri surtout. Cela fait quelques jours que nous préparons une nouvelle mission, un truc « qui va faire réagir les gens », d’après Malek qui supervise toutes les opérations. Il y croit dur comme fer et on avoue tous à demi mot que sans lui nous aurions filé droit. Malek, doit approcher la quarantaine, c’est après le suicide de ses enfants qu’il à décider d’arrêter le traitement infligé par le conseil, autant vous dire qu’il est motivé, et surtout haineux face à la « connerie de moins en moins humaine mais toujours présente » comme il le répète. Mais pour le coup tous les regards se fixent sur moi, ma mission est risquée mais primordiale…
[2] Automobiles
Aujourd'hui petite initiation
Une méthode simple que j'applique moi même et qui me permet d'éviter une liste longue de 3 kilomètre inondée de crétin(e)s.
Fait numéro 1 : En premier lieu tâchez de supprimer les gens qui ne vous on pas parler depuis longtemps, à un point même que vous vous demandez si ils ne sont pas décédés. Evidemment, la réciproque est vrai, si vous ne leurs parlez pas aucun intérêt.
Fait numéro 2 : Inutile de conserver les gens qui ne viennent vous parler que pour vous demander un service, quel qu'il soit, et de façon plus ou moins espacée, le tout entrecoupé de discussions plus ou moins évasives et surtout pleines de mondanités (des exemples pour les néophytes : "Salut, ça va..[5 minutes plus tard] dis, moi pendant que t'es là tu saurais pas comment.."). Je vous conseil tout de même de garder ces personnes sous le coude pour un éventuel passage à tabac un soir de solitude ou d'énérvement profond. Cela fait toujours un bien fou.
Fait numéro 3 : la personne est toujours hors ligne...bon et bien là je vais vous avouer un truc qui va peut être vous faire pleurer mais il est possible que la personne vous ai supprimé / bloqué (je vous dis de ne pas trop demander d'aide !). Dans ce cas aussi il est inconscient (et un peu pathétique) de garder un tel contact (j'ai en tête une cinquantaine de contact de ce type). Ne vous inquietez pas, quoi qu'il arrive vous en trouverez d'autre ! Enfin ce n'est pas de votre faute si la personne n'a pas saisie l'ampleur de votre personnalité [...].
Fait numéro 4 : depressifs chronique, harceleurs[ Dédicace à tu sais qui] et autres fous / folles dangereux. Ai je réeellement besoin de vous expliquer pourquoi ce contact doit être LE PLUS RAPIDEMENT supprimé de votre précieuse (et maintenant quasi parfaite) liste de contacts.
Fait numéro 5 : La personne qui ne vous parle jamais mais qui vous répond quand même quand vous allez lui parler...Au delà de ce fait TRES agaçant, il y à un problème qui se cache : la lassitude. Ca devient gonflant d'aller vers autrui, et l'unilatéralité dans une conversation / relation / ce que vous voulez est déplaisante. A dégager si au bout de plusieurs moi le constat reste le même.
Fait numéro 6 : toujours marqué absente, ou occupé, ne vous parle jamais. Je crois que c'est presque plus hypocrite que de supprimer la personne, vous connaissez la suite.
Fait numéro 7 : quoi qu'il arrive...ne me supprimez pas
Bon, de toute façon, soyez rassurez, je ne bloque jamais mes contacts (sauf cas extrèmes), donc si l'envie prenaient à certains de revenir, c'est tout à fait possible. Je ne suis pas un monstre (quoi que...).
C'est rassurant hein ?
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Julie
Here's come Julie
port[p]olio...
El moskito 2nd round
Aujourd'hui
Ch'po c'que j'ai
Coup de gueule bis
Mouahahah [suite]
Mouahahah
Fin
Je vais aussi totalement arrêtez le blog, parce que personne le lit, et qu'au final ça ne me sert plus à rien... plus grand chose ne me sert à quelque chose d'ailleurs...
Bonne continuation
©Charly
J'ai encore
Outch
Et voilà, encore un post inutile..de toute façon personne ne lit ;)
Frayeur d'un vieux de 22 ans
Ben tiens
(là franchement comme message subliminale on peut pas faire mieux.)
Sinon bah, en stage actuellement, donc occupé, mes fans attendront..comment ça "quels fans" OH HEY FAITES PAS CHIER ! J'étais de bonne humeur... Alalala qu'est ce que je me marre. Vous marrez vous avec moi...faites moi plaisir, mon égo à un besoin de flâteries que je n'explique pas en ce moment.
2006 sera égocentrique ou ne sera pas !
(putain ce post..il sert à rien, enfin presque )
Ce n'est qu'un au revoiiiiiirr...
22 ans
impression d'étouffer en pleine nature , de
vous sentir seul(e) même entouré(e) d'une
multitude de gens ?
Alors bienvenu au club des gens à qui il
manque quelque chose ...
L'inconvénient c'est que l'on ignore tout de ce
qui nous manque !
Vous vous êtes tous et toutes à un moment
donné, dits qu'il ne vallait mieux pas se poser
de questions et laisser le temps au temps ...
entre nous , vous savez pertinemment
que c'est IMPOSSIBLE
J'ai récuperer ces mots sur le trombi (www.le-trombi.com), sur une fiche...et j'ai flippé. flippé parce que...j'aurais pu écrire ces mots et que j'ai quasimment tout le temps la première impression, manque de quelque chose, je ne sais encore quoi. Et pourtant j'ai écumé un bon paquet de possibilités !
Et la deuxieme..."Charly, putain..mais...OH, tu nous gonfles à trop réfléchir"...bah...je ne peux pas m'en empêcher ! C'est ainsi, ça s'arrêtera...quand j'aurais trouvé ce qui me manque...
Sinon.. JE SUIS SUPER PAS CONTENT DU TOUT d'apprendre que j'ai qu'une semaine de vacances...voilà..C'était mon quart d'heure adolescent en furie. Merci de votre compréhension !
Humeur du Moment
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Est-ce que tu voulais que j'lui dise, que ça ne f'ra qu'empirer ?
Le plus triste, le plus dommage, elle le sait pas et c'est de son âge, mais elle-même un jour elle fermera sa porte quand à son tour elle sera la plus forte...
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Est-ce que tu voulais que j'lui dise, que ça ne f'ra qu'empirer ?
Qu'il a pas fini de pleurer, qu'la leçon n'est jamais apprise, mais si ça peut le rassurer, lui-même un jour fera sa valise.
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ?
Puisqu'elle savait déjà, elle le savait mieux que moi, que ça ne va jamais s'arranger, que ça ne f'ra jamais qu'empirer.
Qu'est ce que tu voulais qu'ils me disent ?
...
Coup d'gueule
Petit coup de gueule contre l’industrie du jeu vidéo qui nous prend pour des vaches à lait. Entre les suites (vous voulez des noms ?), les jeux type marketing (qui ne sont plus des jeux), ou les jeux réclamant une telle puissance qu’ils vous obligent à vendre un rein pour upgrader votre machine (et ce chaque mois sinon aucun intérêt). Depuis le temps que les joueurs pestent contre le fait que les concepts sont de plus en plus éculés, et qu’on se cantonne trop souvent aux graphismes au détriment d’un bon gameplay ou d’une histoire potable. Si je veux voir de belles images je m’éclate autant à regarder des fonds d’écrans…
Pour illustrer mon propos voici un test du jeu Crazy Frog Racer paru dans Joystick n°178 (qui contient aussi un très bon dossier sur le piratage).
Le test commence par cette petite introduction :
Oh qui voilà ?!Mais c’est le retour de la poule aux œufs d’or ! Ah tiens non, c’est une grenouille ridicule qui ne voit en vous qu’une énorme vache à lait. Prêt pour un petit tour dans le monde merveilleux du marketing ?
Bibibbidididiiiii bababadadaaaa…
Non je ne suis pas en train de vous imiter Faskil et Fumble en pleine séance de papouilles au fond de la rédac’ mais Crazy Frog, batracien ridicule et matraqué sur les ondes depuis déjà trop longtemps. Plus d’un million d’exemplaires de cette « musique » vendus à ce jour. Oui oui, vous pouvez vérifier, je ne me moque pas de vous. Ah ben forcément ça donne envie d’exploiter le filon jusqu’au bout histoire de surfer encore un peu plus sur ce gigantesque tsunami à pognon. Alors voici l’adaptation vidéo ludique, sorte d’insulte suprême à tous les jeux de course de l’histoire. Un véritable bras d’honneur balancé à la face du bon goût. On y dirige Crazy Frog et ses potes pilotes du dimanche dans des épreuves débiles, sur des circuits incompréhensibles, et passionnant comme une intégrale de Très Chasse. La maniabilité est une horreur, la difficulté une invitation à se coller la tête dans le four, et seule la motivation de pouvoir un jour fracasser des armoires sur le crâne des responsables de cette chose nous évite de passer à l’acte.
Donnez-moi une corde
Visuellement ? A vous donner envie de devenir aveugle. Les musiques ? A faire passer la surdité pour un délice existentiel. La boîte ? Une pub pour le retour de la lèpre histoire de perdre tous nos doigts et ne plus jamais avoir à toucher cette infamie. Cray Frog Racer, c’est un peu le châtiment ultime, celui que la C.I.A. rêve d’utiliser pour faire avouer des dizaines de crimes imaginaires à des terroristes présumés au fin fond de prisons secrètes. On peut jouer en multi ? Génial. Il faudrait encore trouver un autre cinglé prêt à balancer 15e par la fenêtre. De toute façon, le code réseau a sûrement été programmé pendant un tremblement de terre tant les ralentissements y sont fréquents. En clair : un produit bien plus qu’un jeu et dont la réalisation n’a pas dû prendre plus de trois semaines à une bande de développeurs séquestrés et forcés de se shooter à la colle. Dire que certaines marketeux affirment parfois qu’ils pourraient vendre de la merde juste en collant un logo dessus. Eh ben voilà, la preuve qu’ils ne déconnent pas
Yavin (rédacteur de l’article)
A ce test se joint un récapitulatif :
En deux mots : Moche, injouable et doté d’une durée de vie de 3 minutes chrono. A coté de Crazy Frog Racer, regarder chauffer l’eau des pâtes devient subitement un spectacle des plus captivant.
Plus : Ah ah ah…non
Moins : très laid, totalement injouable, cher pour trois minutes de jeu.
Ainsi qu’une légende d’une capture d’écran où s’affiche un temps de course:
« Sur ce temps-là, on peut faire quelque chose de plus utile. Genre des œufs à la coque. »
Hormis l’humour présent dans ce test (oui je suis fan de Joystick !), la preuve est dans les faits, on nous prend pour des cons…j’admire certains développeurs pour le travail qu’ils peuvent fournir, j’admire certains éditeurs pour promouvoir des idées nouvelles. Mais parfois, je m’interroge…
Forcémment...
Peut être que, lorsque la fatigue prend le dessus, elle prend aussi le dessus sur le masque, sur le moral en réalité. C'est là que je me suis rendu compte qu'il y a quelque chose qui clochait sans réellement savoir quoi, et avoir peur de certaines choses sans en connaître l'objet (ce qui est du coup deux fois plus effrayant).
J'étais vraiment "content" lorsque j'étais accablé par le travail, ça évite bien des questions toutes plus inutiles les une que les autres...
Le roi est environné de gens qui ne pensent qu'à divertir le roi et à l'empêcher de penser à lui. Car il est malheureux tout roi qu'il est s'il y pense.
(Pensées in Oeuvres Complètes, p.517, Seuil, 1963)
Cela paraît ridicule, mais tellement - tristement - vrai ! Car bien peu de gens peuvent se targuer de rester dasn l'ennui tout en gardant le moral. L'esprit ainsi occupé à travailer je n'avais plus la tête à réfléchir. Et le contenu de ces reflexions m'est propres...n'en déplaise à certains...
Mais, ah mon grand étonnement, lorsque je me suis levé après avoir correctement dormi, ouvert les volets sur un soleil radieu, ça allait déja beaucoup mieux...enfin...le clown allait déja beaucoup mieux...étonnant non ?
Une envie
Amandine
Florian
Le dico a dit :
J'admire la concision du dictionnaire et l'abnégation de celui-ci ! Et regardez maintenant le plus amusant :
"Amour : Sentiment très intense, attachement englobant la tendresse et l'attirance physique, entre deux personnes."
Là aussi, scientifique à souhait. Alors oui sentiment intense, ça pour le coup, ça peut le faire. Mais notez que parfois l'intensité d'une amitié tend à se rapprocher de celui de l'amour. Et c'est là que notre ami le dico entre en jeu avec "l'attirance physique". Donc l'amitié c'est, parfois, souvent un amour atténué, sans relation physique... je dis relation parce que dans les amitiés homme femme il existe souvent sous jacente une attirance, cachée peut-être mais existante.
Alors du coup, si je suis le dico, on est souvent amoureux, je veux dire comme le dictionnaire l'entend on peut très vite s'attacher à une personne (et encore plus vite la désirer - voire avant...). Ainsi notre chère compère linguistique omet quelques détails tels que : la jalousie, l'envie, le désir, la tromperie, les habitudes, le besoin de liberté, l'environnement, l'éloignement, les exs( :p ), le moral, le travail (tristement oui), la météo , et tout un tas de trucs innombrables qui peuvent ruiner une relation, où la construire, c'est selon la force de chacun...Et l'amour...on tourne en rond non ?
C'est dans l'air
Alors à celui ou celle qui réussi à construire un couple dans ce climat de rupture à la chaîne je dis BRAVO (et bon courage pour le prochain hiver !).
Conseil d'utilité publique
Le virus en question se nomme Virkel.F et se présente sous la forme d'un fichier intitulé BETA8WEBINSTALL.EXE. Le « pseudo-programme » est généralement proposé en téléchargement. Son installation envoie automatiquement le lien de téléchargement à l'ensemble des contacts MSN Messenger de l'utilisateur infecté. Le message envoyé propose une « version fonctionnelle de MSN Messenger 8 Beta ».
Les machines infectées par le virus se connectent aussi à des serveurs robots qui permettent aux hackers de prendre le contrôle des PC touchés à distance. Encore une fois, la prudence sera de mise si vous recevez un mystérieux lien pour télécharger MSN Messenger 8 beta sur votre messagerie instantanée, même si cela vient de la part d'un ami...
Source : www.peer2p.com
Et autre conseil : apprenez à distinguer le vrai du faux sur le net, notamment dans les alertes virales. Pour ce faire je vous conseil ce très bon site (pub PUB pub) www.hoaxbuster.com
Le sommeil
...lol...
Si l'on peut aisémment me considérer comme une grande gueule, un guignol agité à cause de mes blagues que seul moi trouve drôle.
J'aime à penser que de rester dans cet état d'euphorie (forcé parfois) me permet d'éluder une bonne partie des questions qui pourrissent l'existence d'un être humain. Alors oui, je déconne tout le temps, même quand il faudrait être sérieux. Oui je prend énormément de chose à la légère. Des choses que les gens considèrent comme grave (exemple type : la grande faucheuse...et si c'était un nain). Et quand il me prend l'envie d'être sérieux, parce que je suis fatigué de jouer le clown - car vous savez qu'il est fatiguant de porter ce masque (quelque soit sa nature) - je suis très, trop sérieux...
Alors vraiment, oui vraiment, je vais continuer à raconter mes conneries, et me faire rire, oui...rire..encore...
Oh oh oh
Never again
22h00 le type en question doit sortir pour aller en boîte c'est à peine si il marche, il titube, tout le monde se fout de lui...
22h30 (le type se souvient pas de tout), Magnifique gerbe dans l'évier des toilettes, ainsi qu'un peu partout dans la boite. Environ 20 minutes après ces ébats gastriques on décide de le mettre dehors (mais gentillement).
En clair un état de léthargie, oublier un bonne partie de la soirée, pas profiter de la soirée ni des gens présents à celle-ci. Un sentiment de honte, d'auto rejet, parce que franchement il s'était dit que jamais il ne ferait ça...
Paraît que ça arrive à tlm. Il avait justement éspéré ne pas être tout le monde, quelque chose me dit que c'est pas évident. Ouais..ce type c'est moi... et plus jamais, non plus jamais je ferais ça. Je tenais aussi à remercier ceux et celles qui m'ont aider envers et contre tout.
Ce que je sais, là, c'est que le plus dur est à venir...lundi on va se marrer..enfin les autres, moi j'essairais de me cacher...
Trips du moment...
- Toutes les répliques de "La cité de la peur".
- "Hey, Nemo il a touché la berk !"
- Faire le raptor... (si si...)
- Parler de sex comme on parle de la météo.
Ah et à ce propos, un truc amusant que j'ai remarqué. Enfin y'a que moi pour trouvé ce genre d'idées ! Je me suis mis à imaginer les gens, dans ma classe (les pauvres...) en pleine activité sexuelle . Ce n'est pas pervers. Mais ça donne un tout autre regard sur l'autre. Je me dis que, sans doute (voir certainement), la personne n'est plus la même. Y'a un côté très personnel, et animal qui fait qu'on se rapproche plus de la vraie personne que de celle qu'on voit tous les jours. Notez que je peux aussi me tromper, mon imagination peut me jouer des tours ! Mais mon "trip" s'arrête là. C'est juste que, c'est une façon différent de voir autrui. Et si je suis mon raisonnement une personne vierge est dénuée de personnalité... ok, bon, je vais prendre mes calmants. Pas taper, non pas taper; AHHhhhhh
Fricassé
D'habitude je suis pas le genre à aligner compliments sur compliments, mais faut bien avouer qu'elles les mérite (contrairement à ce qu'elle en pense).
Gentille, adorable, drôle, croqueuse de vie, mignonne (quand elle dort, et aussi quand elle parle), compréhensive, à l'écoute, s'investit pour ses amis (et pour elle ?), toujours présente, entière, aware (et pas par hypocrisie), courageuse, ambitieuse, batante. Et j'en oublie un bon paquet. Et je sais qu'elle va me dire "nan mais c'est n'importe quoi, tu racontes nawak". Ah j'oubliais, modeste !
J'ai vécu pas mal de choses avec elle, je ne regrette rien, car chacuns de ces moments furent pleinement vécu, et avec bonheur. Chose qui me concernant s'avère plutôt rare. En clair, je lui doit beaucoup. J'éspère qu'elle le sait.
J'éspère aussi qu'elle sait que je serais toujours là pour elle comme elle l'est toujours pour moi. Et je suis convaincu que son image me restera à jamais, tout commes ces mots, ou ces lettres pliés d'une incroyable manière (trois heures pour comprendre comment c'est fait).
Une fois de plus...
C'est trop bon, quand on a pas cours le lendemain, sinon on appel ça un "problème".
Notez que se coucher à 7 heures tous les jours n'est pas un bienfait. C'est une bonne technique pour un sommeil certain, d'une profondeur sans trouble. Quand le corps ne tient plus la route, il s'endort, tout seul, comme un grand, sans aucune pensées. Pratique, efficace, et surtout pas cher.
En revanche cette technique est à proscrire si vous êtes en bad, c'est des coups à faire des conneries, ou engueuler tout le monde sans raison apparentes (si ce n'est celles que votre inconscient essai de faire ressurgir).
En fait j'ai regardé la télévision (mon dieu quel fléau), oscillant entre les clips (j'ai faillit compté le nombre de poitrines apparentes pour m'endormir...) et une émission "c'est dans l'air", sur la 5, le sujet c'était l'insécurité, forcémment hein, on se refait pas. En revanche moi je me demande pourquoi elle revient aujourd'hui, avait-elle disparue avant ? On en entendait plus parler ! Bah voilà, quelques incidents bien violents, une visite de notre ministre (enfin "notre"...) et OP retour sur le devant de la scène...
J'ai retenu une chose de cette émission, la "solution" présentée par Mr Sarkozy (je suis poli moi) n'est pas bonne pour la raison suivante : chaque département se voit confronter à des types de violences différents, dont les auteurs aussi sont ciblés. Il appartient aux élus locaux d'enrayer cette violence qu'ils connaissent bien. Sous couvert d'un support de l'état (on combat pas la violence avec des boulettes de papiers...).
Notez aussi que j'ai entendu une phrase qui m'a fait sursauter : on connait les responsables des actes violents, il suffiraient de les arrêter pour enrayer une bonne partie de cette menace.
De surcroit je ne suis pas victime de cette insécurité et je comprends qu'on veuille pouvoir se balader tranquillement dans la rue sans risquer de se faire battre (ou pire...).
Malheureusement je ne suis pas convaincu que la violence des propos et des actes de Mr Sarkozy ai une bonne répercution.... Ou alors qu'on me dise depuis quand la violence se dissoud par elle-même. Au contraire je crois qu'elle s'alimente de cette façon.
C'est un bataillon de psychologues qu'il faudrait pas des cars de CRS. Quand on "voit" que les actes violents n'ont que des raisons futiles voir même aucune. Je désèspere peu à peu de ce concept appellé "humanité".
Voilà c'était un message de votre serviteur invétéré (invertébré aussi).