samedi 13 janvier 2007

...pas la première fois..

Avant d'introduire mon nouveau billet qui me trotte dans le cortex depuis un moment, je tenais tout simplement à vous souhaiter une bonne et heureuse année, il était temps. Si j'avais omis ce point de détail, il aurait été certain que vous auriez eu une mauvaise année 2007..ça tient à peu de chose hein !


Enfin bref, premier post de 2007 qui fait suite à une conversation avec une fille sur msn, le sujet de la discussion « coucher dès le premier soir » (qui a fait « oooh » dans le fond de la salle ?).. On en parlait et justement je lui disais que de mon côté je ne trouvais pas ça très positif, parce que derrière cela pouvait avoir une mauvaise perception de la personne. En clair vous êtes qualifié de salope, rapidement et sans avoir rien demandé. Et le pire c’est que le parallèle masculin n’existe pas, couché le premier soir pour un homme relève plus du naturel.

Il en ressort donc que ce n’est pas tellement moi que ça dérange qu’une fille couche le premier soir (la vérité serait que ça m’arrange, elle n’aura pas le temps de se rendre compte de son erreur !), mais plutôt l’ensemble des gens, la société (encore elle oui monsieur !) qui nous dicte une certaine forme de conduite plus ou moins sous jacente.

Le parallèle peut être fait avec les années hippies où tout le monde couchait avec tout le monde, et ce n’importe où et dans n’importe quelle circonstance. C’est un parallèle intéressant parce qu’aujourd’hui c’est une hérésie que de penser l’acte sexuel comme aussi libéré qu’il le fut. A cause peut être des maladies et d’une certaine pudeur occidentale, liée aussi sans doute au christianisme et ses doctrines (pas de débat là dessus – SUPER DANGEREUX).

Tout ça pour en finir avec cette surprise : je suis aussi rentrer dans le moule (attention…) et ai fini par appliquer une idée qui ne me correspondait pas. Si nous hommes, et si n’importe qui veut coucher dès le premier soir, pour obtenir (un peu, beaucoup, pas du tout – rayé la mention inutile) de plaisir. Pourquoi diable nous priverions nous, d’autant plus que celui-ci est difficilement atteignable ?

Nous amorcerons cette nouvelle année par la phrase suivante : « couchons gaiement ».