Bonsoir public, que dis-je, assemblée de personne toutes plus géniales les une que les autres !
Donc « assemblée de personne […] que les autres » je m’en vais te faire part d’une trouvaille de mon cru, l’expression : « drague & drop ». Ceux qui ont déjà eu une souris entre les mains voient tout à fait de quoi il va en retourner, et ceux qui ne comprennent pas devraient probablement essayer d’éviter de vivre en ermite. Le drag & drop en informatique, ça se passe avec la souris et ça permet de prendre un élément, de le trimballer, et de le jeter. Le « drague & drop » c’est le fait de prendre une personne, de la trimballer et de la jeter (« oh mon dieu ces mots sont crus à souhait »).
Le « drague & drop » est né suite à une soirée où j’entendais des filles (oui messieurs des filles sont à l’origine de cette oh combien masochiste expression) parler de leurs aventures à la chaîne. Ces même aventures faisant généralement suite à une longue période de couple.
Le « drague & drop » est-il un phénomène exclusivement féminin ? C’est la question que je me pose. Car je crois savoir pourquoi le « drague & drop » existe : il fait suite à l’idée qu’avec une seule et même personne on passe à côté de plein de chose et qu’a priori pour pallier à ce manque on accumule les choses…tout un tas de choses (le « drague & drop » pourrait en fait s’appliquer à une passion, un hobbies). C’est sans doute aussi parce que cette phase permet de passer à autre chose.
Que l’on ne me jette pas la pierre, jamais au grand jamais le « drague & drop » n’est assimilable à une espèce de nymphomanie passagère, puisque son objet n’est pas toujours l’acte sexuel (dommage pour moi cela dit). Pourtant on peut constater chez l’être atteint de « drague & dropisme aigu » certains errements qui peuvent être relativement nauséabonds.
Je dirais à vos commentaires, et rétablissez la vérité si cela est nécessaire.