dimanche 28 octobre 2007

Celui qui inventait des mots...

Bonsoir public, que dis-je, assemblée de personne toutes plus géniales les une que les autres !

Donc « assemblée de personne […] que les autres » je m’en vais te faire part d’une trouvaille de mon cru, l’expression : « drague & drop ». Ceux qui ont déjà eu une souris entre les mains voient tout à fait de quoi il va en retourner, et ceux qui ne comprennent pas devraient probablement essayer d’éviter de vivre en ermite. Le drag & drop en informatique, ça se passe avec la souris et ça permet de prendre un élément, de le trimballer, et de le jeter. Le « drague & drop » c’est le fait de prendre une personne, de la trimballer et de la jeter (« oh mon dieu ces mots sont crus à souhait »).

Le « drague & drop » est né suite à une soirée où j’entendais des filles (oui messieurs des filles sont à l’origine de cette oh combien masochiste expression) parler de leurs aventures à la chaîne. Ces même aventures faisant généralement suite à une longue période de couple.

Le « drague & drop » est-il un phénomène exclusivement féminin ? C’est la question que je me pose. Car je crois savoir pourquoi le « drague & drop » existe : il fait suite à l’idée qu’avec une seule et même personne on passe à côté de plein de chose et qu’a priori pour pallier à ce manque on accumule les choses…tout un tas de choses (le « drague & drop » pourrait en fait s’appliquer à une passion, un hobbies). C’est sans doute aussi parce que cette phase permet de passer à autre chose.

Que l’on ne me jette pas la pierre, jamais au grand jamais le « drague & drop » n’est assimilable à une espèce de nymphomanie passagère, puisque son objet n’est pas toujours l’acte sexuel (dommage pour moi cela dit). Pourtant on peut constater chez l’être atteint de « drague & dropisme aigu » certains errements qui peuvent être relativement nauséabonds.

Phénomène tout aussi intéressant : le « drague & drop » peut se répéter dans le temps !

Je dirais à vos commentaires, et rétablissez la vérité si cela est nécessaire.

lundi 22 octobre 2007

Celui qui tissait...

Bonjour oh toi public, à qui j’en suis certain j’ai énormément manqué (le premier qui pouffe de rire je le claque).

Ces temps ci beaucoup de questions se bousculent, les périodes pré sommeil aidant j’ai conçu une véritable toile d’araignée de questions qui se rejoignent. Et justement, suivant ce schéma, dans le désordre nous avons :

  • Les patrons sont ils foncièrement mauvais ou leurs comportements est étroitement lié à leurs fonctions. En d’autres mots sont ils humainement cons ou est ce un facteur aggravant que d’être patron ?
  • Y’a-t-il ou non une notion de justice dans le monde du travail ?
  • Suis-je à même de travailler sous l’égide de quelqu’un ? En clair pourrais je ne pas avoir la volonté d’égorger mon responsable au moindre travers ?
  • Pourquoi les hommes fantasmes t-ils toujours sur une femme sous la douche / qui aurait les cheveux mouillés ?

Bon là vous vous demander comment les fantasmes masculins rejoignent notre histoire de patron…et bien si ce dit patron réalisait plus ses fantasmes on en serait sans doute pas là, de là à extrapoler en disant que tous les patrons sont des mal baisés il n’y à qu’un pas. En priant ne jamais devenir patron à mon tour !

  • Et je m’interroge aussi sur la nécessité du changement dans notre vie, si oui ou non et selon l’individu le fait d’entamer un processus d’ « enracinement » est nuisible.
  • Tous un tas d’autres questions aussi sur le couple, l’amour, tout ça, en clair trop regardé «les feux de l’amour » ou « plus belle la vie » est il vecteur de suicide ? La corollaire étant que trop croire en l'amour est il néfaste, faut il s'en désilussioner pour mieux s'y adonner ?

Voilà, je ne suis même pas certain d’avoir fait le tour et pour le coup ce billet sonne creux (oui plus creux que les précédents !) mais quand faut lâcher, faut lâcher.


Et vous, vous lâchez comment ? (Non pas comme ça).