lundi 26 novembre 2007

Celui qui rationnalitait...

N’avez-vous jamais été atteint de « raisonnablité aigue » ….si si sans doute mais très certainement pas sous ce terme précis. Nous avons aussi « l’accès de conscience », « la rationalisation » ou bien « rationnalite »…
La rationnalite qu’est ce que c’est ? Et bien mesdames et messieurs c’est simple (enfin…) c’est un processus de l’esprit qui vise à énoncé mentalement tout un tas de « et si », « peut être que », « si jamais… ». Ah ça vous revient, c’est un blocage de l’esprit, vous réfléchissez, vous réfléchissez encore et vous n’agissez plus, vous ne dites ni ne faites ce que vous pensez à cause de la « rationnalite ». La « rationnalite » est très présente de nos jours elle est parfois couverte par la bienséance ou je ne sais quel dogme plus ou moins conscient.

Ma « rationnalite » à moi je pensais m’en être débarrassé, mais FICHTRE NON, jamais, ça serait se changer soi même, malgré les pas en avant que j’ai fais en osant, en franchissant les barrières de mon cerveau je pense même avoir régresser à ce niveau…non vraiment après les concerts de Johnny et les matchs Paris-Marseille, la « rationnalite » est bien le plus grand fléau de ce monde, freinant ainsi élan et pulsions parfois très positive...

Et vous votre « rationnalite » elle est comment ?

dimanche 4 novembre 2007

Celui qui retournait en enfance...

Bonjour oh toi public adoré, les posters de ma personne que je vous avait promis ont été retenus, certains fans ayant cru bon de les dérober afin de les revendre au marché noir…n’y a-t-il donc aucune justice dans ce monde ?

Bref, là n’est guère le sujet, le sujet du jour est « catalogue de jouets ». Vous aussi vous avez eu le plaisir de les revoirs dans vos boîtes aux lettres et sans tout de même avoir la ferveur de votre plus jeune âge vous avez consulté le dit livret. Au-delà des nombreux souvenirs que ça peut raviver « ah je l’avais le super méga GI Joe qui lance des boulettes » / « ah j’ai toujours voulu la voiture électrique » (bon ça c’est le modèle masculin dirons-nous) je met l’accent sur quelques points.

Vous avez constaté le nombre de « jouets » à licences qui pullulent dans ces catalogues ? Je veux dire qu’avant nos jouets étaient issus d’une marque qui leurs étaient propre, maintenant elles sont issues de la télévision : Dora, Spiderman, les Pirates es Caraibes et j’en passe. Tous prennent peu à peu le pas sur les Lego ou les Playmobil par exemple ! Ce phénomène n’est pas nouveau puisque à notre époque (oula papy Charly détend toi) déjà on voyait des jeux Power Rangers eux même issus de la série. D’ailleurs les Power Rangers sont en grosse perdition puisque Spiderman prend tout juste 2 pages complètes tandis que nos amis colorés prennent péniblement un quart de page. Atterrant…

Recrudescence aussi du côté des filles des « poupées mannequins » encore plus pétasses que Barbie qui selon moi atteignait déjà des sommets : « comment ne pas être formater dès l’enfance by Mattel ». Alors maquillage et style gothique au menu de ces « Beauty Cuties », charmant non vraiment je suis en extase.

Comment ne pas être formater aussi quand la fille à le set de ménage et la cuisinière là où le petit garçon reçoit la panoplie du bricoleur ? J’avais déjà eu cette discussion et c’est très flagrant quand on consulte les pages, rose – bleu, on voit clairement la distinction entre les deux sexes, la couleur et les mises en situations des jouets changent.

Arrivée aussi des « minis ordinateurs éducatifs » (enfin je les appellerais comme ça) pour surfer sur la vague du numérique. Les enfants ont maintenant droit à leurs CAMESCOPE ou à leurs appareils photos numériques !? On se rapproche de plus en plus du monde de l’adulte, les jouets des enfants ne serait-il en fait qu’une simulation du monde adulte en plus édulcoré (enfin n’oublions pas les actions man qui font la guerre tout naturellement) ?

Et bien messieurs dames, face à l’hégémonie de ces jouets je m’en vais faire un bout de texte sur le LEGO, je reste un fan inconditionnel de ce type de jeu qui est selon moi plus moteur d’imaginaire que Spiderman (son imaginaire à lui, il est déjà construit !).

J’avais envoyé un message minitel (et oui ça existait encore !) demandant pourquoi - alors que le camion super énorme que j’avais eu en cadeau le permettait - n’y avait-il pas de remorque allant avec ?! Lego m’a répondu comme vous pouvez le voir, m’indiquant que j’avais de bonnes idées (ce que chacun sait être vrai). Déjà on reconnaissait mon utopisme naissant qui présupposait que Lego allait gentillement me pondre un jouet pour moi seul… Ahah sacré Charly, enfin « Chatly », saleté de Minitel hein…il faut savoir tourner la page ;)

L’espèce de truc avec la lettre c’est une carte postale que j’ai reçu en cadeau avec ma banane Lego. Quelle fierté sur le moment, quoi que le jaune pissou ça n’est pas fait pour toutes les saisons ! Derrière la carte il y a écrit « The Gate of the Present », comme quoi chez LEGO on pouvait aussi fumer les produits qu’on fabriquait !

dimanche 28 octobre 2007

Celui qui inventait des mots...

Bonsoir public, que dis-je, assemblée de personne toutes plus géniales les une que les autres !

Donc « assemblée de personne […] que les autres » je m’en vais te faire part d’une trouvaille de mon cru, l’expression : « drague & drop ». Ceux qui ont déjà eu une souris entre les mains voient tout à fait de quoi il va en retourner, et ceux qui ne comprennent pas devraient probablement essayer d’éviter de vivre en ermite. Le drag & drop en informatique, ça se passe avec la souris et ça permet de prendre un élément, de le trimballer, et de le jeter. Le « drague & drop » c’est le fait de prendre une personne, de la trimballer et de la jeter (« oh mon dieu ces mots sont crus à souhait »).

Le « drague & drop » est né suite à une soirée où j’entendais des filles (oui messieurs des filles sont à l’origine de cette oh combien masochiste expression) parler de leurs aventures à la chaîne. Ces même aventures faisant généralement suite à une longue période de couple.

Le « drague & drop » est-il un phénomène exclusivement féminin ? C’est la question que je me pose. Car je crois savoir pourquoi le « drague & drop » existe : il fait suite à l’idée qu’avec une seule et même personne on passe à côté de plein de chose et qu’a priori pour pallier à ce manque on accumule les choses…tout un tas de choses (le « drague & drop » pourrait en fait s’appliquer à une passion, un hobbies). C’est sans doute aussi parce que cette phase permet de passer à autre chose.

Que l’on ne me jette pas la pierre, jamais au grand jamais le « drague & drop » n’est assimilable à une espèce de nymphomanie passagère, puisque son objet n’est pas toujours l’acte sexuel (dommage pour moi cela dit). Pourtant on peut constater chez l’être atteint de « drague & dropisme aigu » certains errements qui peuvent être relativement nauséabonds.

Phénomène tout aussi intéressant : le « drague & drop » peut se répéter dans le temps !

Je dirais à vos commentaires, et rétablissez la vérité si cela est nécessaire.

lundi 22 octobre 2007

Celui qui tissait...

Bonjour oh toi public, à qui j’en suis certain j’ai énormément manqué (le premier qui pouffe de rire je le claque).

Ces temps ci beaucoup de questions se bousculent, les périodes pré sommeil aidant j’ai conçu une véritable toile d’araignée de questions qui se rejoignent. Et justement, suivant ce schéma, dans le désordre nous avons :

  • Les patrons sont ils foncièrement mauvais ou leurs comportements est étroitement lié à leurs fonctions. En d’autres mots sont ils humainement cons ou est ce un facteur aggravant que d’être patron ?
  • Y’a-t-il ou non une notion de justice dans le monde du travail ?
  • Suis-je à même de travailler sous l’égide de quelqu’un ? En clair pourrais je ne pas avoir la volonté d’égorger mon responsable au moindre travers ?
  • Pourquoi les hommes fantasmes t-ils toujours sur une femme sous la douche / qui aurait les cheveux mouillés ?

Bon là vous vous demander comment les fantasmes masculins rejoignent notre histoire de patron…et bien si ce dit patron réalisait plus ses fantasmes on en serait sans doute pas là, de là à extrapoler en disant que tous les patrons sont des mal baisés il n’y à qu’un pas. En priant ne jamais devenir patron à mon tour !

  • Et je m’interroge aussi sur la nécessité du changement dans notre vie, si oui ou non et selon l’individu le fait d’entamer un processus d’ « enracinement » est nuisible.
  • Tous un tas d’autres questions aussi sur le couple, l’amour, tout ça, en clair trop regardé «les feux de l’amour » ou « plus belle la vie » est il vecteur de suicide ? La corollaire étant que trop croire en l'amour est il néfaste, faut il s'en désilussioner pour mieux s'y adonner ?

Voilà, je ne suis même pas certain d’avoir fait le tour et pour le coup ce billet sonne creux (oui plus creux que les précédents !) mais quand faut lâcher, faut lâcher.


Et vous, vous lâchez comment ? (Non pas comme ça).

samedi 8 septembre 2007

Celui qui racontait sa journée...

Et bien cela faisait un moment que je n’avais pas « billetisé » ma vie et bien voilà une idée riche qui me permettra aussi de répondre à la question « qu’est ce que tu fais dans la vie ?».

Let’s go !

8H30 : On the road again mais pas trop vite, le périphérique est évidemment bouché et il existe encore des gens pour penser qu’en collant la voiture de devant ils iront plus vite (j’ai des noms de département)…

8H55 : Arrivé au boulot, « salut, ça va », serrage de pinces : en résumé style grande famille soudée, en vérité véritable nid de guêpes.

9H00 : Ordinateur allumé, TOP : mails mis à jour j’ai…52 mails…Bon ben ça me change de ma boîte mail perso ! Tri rapide des mails pendant 5 minutes puis traitement des demandes en retard. Et là mesdames et messieurs c’est là que la magie du poste opère. Si j’entame une tâche soyez certain que dans les 10 minutes suivantes on va m’appeler pour un « problème ».

Donc pour vous les « problèmes » auxquels je peux faire face :

Le produit « P » n’est pas commandé;

  • Le produit « P » est obsolète;
  • Le produit « P » n’est pas arrivé en stock; Le produit « P » a un prix trop bas, trop haut;
  • Le produit « P » n’est plus disponible;
  • Le produit « P » est cassé, on ne trouve pas de pièces détachées;
  • Le produit « P » est remplacé par un autre plus cher (dur ça, très dur);
  • Le package du produit « P » est incomplet...

En clair, le produit « P », c’est potentiellement tous les produits et à dire vrai je fais sans cesse face à ce genre de situations, car le marché est ainsi. D’autant que ces temps ci les fournisseurs s’amusent avec nous en retardant les livraisons ou en oubliant la moitié d’une commande !

Donc de 9H00 à 12H30 je fais TOUT sauf m’occuper de ce par quoi j’avais commencé au début. La vie est injuste n’est t-il pas ?

Donc retraçons le fil de la journée.

9H20 : appel du responsable « le produit T (tiens…) n’est pas disponible comment je fais pour vendre des articles à mes clients ? ».

9H40 : Après une tentative infructueuse d’explication des faits « mais enfin si le produit n’est pas chez le fournisseur je ne peux pas le fabriquer ». Erreur…j’aurais du répondre que si. Je termine donc en disant que je vais m’occuper de ça (omettant du même coup les 10 autres demandes de personnes qui ne sont pas mon responsable).

9H45 :après avoir réussi à me calmer sans avoir trépaner quelqu’un autour de mon bureau j’entame un retour sur mon travail lorsque soudain…un mail avec comme objet« URGENT !!!!!! ». Vous l’aurez compris ça presse dru. D’autant plus dru que le nombre de points d’exclamation doit être proportionnel au caractère urgent. Donc là il vaut mieux que je bondisse tel le guépard. Enfin un guépard qui en a un peu marre donc il va y aller doucement.

10H40 : Les ordinateurs portables n’étaient pas complets et, surprise incroyable, les pièces nécessaires au montage sont introuvables. J’ai du, démonter les portables, chercher d’éventuelles pièces - introuvables vous l’aurez compris - et contacter le grossiste, et le constructeur car ni l’un ni l’autre n’a vraiment envie ne m’envoyer ces petites pièces si précieuses. Comble de l’urgence le client devait être livré le surlendemain. En d’autres mots « Mission Impossible 4 en cours de tournage ».

10H45 : après 4 coups de fils et une dizaine de mails j’obtiens un envoi de pièces détachées directement de Slovénie (j’ai d’ailleurs la lettre encore sur mon bureau, telle un trophée).
Je reprends mon activité principale c'est-à-dire le référencement : entrer des nouveaux articles dans la base de donnée et fixé les prix et les quantités associées.

12H30 : « Et si on allait manger ? »

- impossible, j’ai encore deux demandes à traités dans l’urgence j’irais plus tard.

12H55 : Bon là il ne faut pas déconner…

13H45 : Passage en salle de pause pour un petit thé, ce qui permettra de rester éveillé le reste de la journée !

14H00 : Retour au boulot enfin plutôt retour aux fameux problèmes. Et de 14 heures à 17 heures je vais gérer d’autres erreurs et rattrapé un retard qui s’accumule puisque de nouveaux problèmes apparaissent chaque jour. Sauf que certains sont plus ou moins importants. Celui qui revient le plus étant « le produit P n’est pas en magasin pourquoi ? » Et bien c’est à 90 % parce que le produit « P » n’attend plus qu’on le dépose gentiment en rayon…

17H55 : Le moment idéal pour qu’un produit du catalogue soit remplacé et que son remplaçant ne soit pas disponible chez les fournisseurs. Sans compter que nous avons encore 60 pièces de l’ancien modèle…En d’autres mots, ça va être la galère !

18H30 : C’est toujours à coup de téléphone et de mail que j’avance (et aussi à coup de tableau Excel !). C’est à cette heure théorique que je termine ma journée. Sauf qu’il me reste une dizaine de mails à gérer et que étant donné que j’ai fait face aux fameuses urgences je n’ai pu totalement rattraper un retard qui s’accumule de jour en jour.

19H00 : Bon j’en ai marre, la moitié des mails seulement sont gérés et je n’ai évidemment pas pu rattraper mon retard. On tentera le coup demain !

19H15 : il y à toujours un type sur le périphérique qui est persuadé qu’en collant la voiture de devant il ira plus vite…


samedi 14 juillet 2007

Celui qui rétablissait la vérité...

Bonjour oh public, oh puis ça me gave ces entrées tonitruante (mais je t'aime toujours public même si tu ne commentes pas mes ébats lettrés).

Bref entrons dans le vif du sujet : le papier.

Pourquoi ? comment en suis-je arriver jusqu'ici. Tentons de suivre le raisonnement d'un Charly (chose fort peu aisée les gens me connaissant en conviendrons).

Tou commença il y à fort longtemps, dans un pays éloigné : la France. Comme vous l'avez sans doute constater en regardant notre lucarne nationale (qui selon moi s'enfonce peu à peu dans le nauséeux), plusieurs publicités sur les grandes enseignes de distributions nationales sont apparues. Ceci faisant suite à l'autorisation pour les GMS (Grandes et moyennes surfaces) de diffuser des spots. La raison évoquée à ce moment était de réduire la consommation de papier qui ravageait nos belles forêts. Je vous passe les faits sur les dérives et l'accumulation de ces publicités (autant à la télévision qu'à la radio). Notez tout de même que cette publicité s'auto cannibalise puisque la quantitié nuit grandement à la qualité de l'écoute des messages publicitaires. J'ajoute que les retours commerciaux ne sont pas à la hauteur des investissements ! Revenons-en à ma forêt, donc protégeons là, oui, je suis d'accord.

Maintenant, le papier qui était utilisé pour la fabrication des catalogues (ceux qu'on reçoit en si grande quantitié qu'on peut chauffer notre salon avec). Et bien mesdames et messieurs, les fibres utilités pour la fabrication des papiers et cartons proviennent :

- à 60 %, du recyclage des papiers et cartons usagés (Le papier peut être recyclé jusqu'à 5 fois sans que sa qualité en soit alterée).
- à 40 % de l'entretien des forêts, de la sylviculture et
des chutes de scierie.

Donc, même si effectivement la production de papier nécéssite l'utilisation de produits chimique tels que le perxoyde d'oxygène (de l'eau oxygènée) qui impactent l'environnement, nous sommes loin de l'alarmant constat qui aurait poussé les GMS à passer sur des médias comme la télévision ou la radio. La vraie raison semble être toute simple...et bien plus motivée par quelques chiffres ronds que par un soucis environnemental.
En fait mon raisonnement à été guidée par une discussion dont j'ai été le témoin.
Une personne à dit que justement le papier provenait des sciures de bois, chose que j'ai voulu vérifié. Et c'est le cas. Malheureusement la discussion elle s'est terminé par un violent "tais toi tu dis que des conneries".

La vérité est ailleurs !

jeudi 12 juillet 2007

Celui qui partait en live...

Bonjour oh public adoré (bientôt distribué dans vos boîtes aux lettres un poster A3 de moi dédicacé j'entend bien). Bref, comme ce titre ne vous l'indique pas je vais parler du truc machin avec l'intelligence, puis m'étaler un peu comme j'aime le faire sur "le moment de moi". Et oui, ce billet aura une vocation purement égoïste (pour trancher avec l'altruisme exacerbé du précédent).

L'intelligence donc, ne peut pas être quantifié en tant que tel, on ne peut pas dire, au risque de faire mentir les tests de QI qu'untel ou unetelle est plus conne que la moyenne sous prétexte de quelques points en moins, ou en plus. Sauf cas de maladie, problème génétique qui effectivement entre dans ce type de topologie. Mais là n'est pas le sujet, prenons un individu (oui pourquoi pas toi là bas la brune qui lit mon blog*), si son intelligence est à un niveau A c'est parque qu'il imagine, ou semble avoir conscience que c'est le cas. Hors, prenons un autre individu qui lui percevra son intelligence comme étant de niveau B (ne sifflez pas ça peut arriver). Et bien mesdames et messieurs la magie de la relativité intervient ICI, si mon second personnage sait en masse une chose que le premier ne sait pas (je n'imagine pas une connaissance ponctuelle mais plutôt un domaine) et bien le premier se sentira de niveau C...tout con, tout bête, notre intelligence où ce sentiment de connaissance toute suprême se voit balayer par autrui (ainsi que tout un tas d'idées préétablies par nos soins).

Evidemment je taille large , j'omet tout un tas de préceptes logiques et c'est volontaire. Mais l'idée est là, et à mon avis plutôt juste. J'y fais référence un parce que notre ami le canard du dernier billet est le porteur de ce type de "nivelisation vers le bas" (expression compte double). Et aussi parce que moi, individu au niveau A à un instant T s'est vu rabaisser au niveau Z en deux secondes. Je parles d'informatique où d'habitude je n'ai pas grand chose à apprendre d'autrui, hors là, étant dans une boîte spécialisée j'aime autant vous dire que la concurrence est rude.

Pourtant vous allez me dire - et vous aurez raison - ce n'est pas parce que tu ne sais pas "ça" que tu es moins intelligent. Vrai, tout à fait vrai, mais la superficialité de notre perception de la connaissance nous pousse fondamentalement à buter sur un aspect de notre culture (aujourd'hui sera ou ne sera pas un jour à phrase philosophiques). Hors il est vrai que l'intelligence ne se limite pas à une connaissance c'est un état d'esprit bien plus large, difficilement délimitable. On peut tout aussi bien décrire comme intelligent quelqu'un de foncièrement altruiste. Du coup je viens de me démonter mon propre raisonnement. Voilà comment passer pour un con !

Dans l'ensemble, et pour ceux que ça intéresse, en ce moment je suis pas mal empreint de doute quant à ma capacité à prendre le relais de la personne que je remplace dans cette fameuse boîte. Si l'on me dit que "tout va bien" j'ai beaucoup de mal à affirmer que c'est le cas quand je constate les nombreux retards dans les tâches qui me sont dévolues. La teneur intelligence n'intervient plus ici, c'est une question de confiance en soi, chose qui selon moi semble tout à fait lié avec les faits énoncés précédemment !

Que la vie vous soit belle, et tenter de chopper un rayon de soleil quand vous en voyez un !


* A dire vrai je ne me suis pas mouillé vu le nombre de brune que je connais, et d'ici je vois les 2/3 blondes de mon entourage préparé un mail d'insultes pour ma personne.

mardi 26 juin 2007

Celui qui ne savait pas quoi mettre comme titre...

Bonjour oh toi public génial que même le grand Gad Elmaleh m'envie (et si il était super petit ?). Vous me passerez la traîtrise du titre foireux, je ne suis guère inspiré. En revanche pour toi public mon nez et mon instint de fouine doublé de chacal m'a fait déniché quelques faits de sociétés qui j'en suis (pas du tout) sur vous satisferont au plus haut point ("il commençe à me gonfler avec ses tirades lui"). Les exemples suivants sont inspirés de faits réels vécus dans ma classe et tout correspondance avec la réalité est totalement fortuite ("tu dis vraiment que des conneries !").

Fact 1

Donc, je vois que tu salives et que déja ton clavier se transforme en réceptacle à sueur qui coule le long de ton front...oui public, tu veux de l'info, du factuel, du truc qui poutre sa maman mais je vais te décevoir je vais te sortir un vieux dossier de l'histoire humaine j'ai nommé le "surdoué", qui est-il ? d'où vient-il (lalalala...) ?

Mais oui le surdoué, vous savez, celui qui sait tout, qui répond toujours aux questions des profs, qui a des lunettes, un air supérieur et un rire à vous donner envie d'égorger une à une la population d'une cage à poule (mais pourquoi les poules me direz vous). Celui là, personne ne l'aime, oh non personne, et le surdoué, dans notre société actuelle où à priori il vaut mieux tout savoir, bien savoir et bien réussir se transforme en"vilain petit canard" (j'ai dis canard hein !). Oui mesdames, messieurs, il existe un processus tacite qui veut que chaque personne vantant avec ostentation ses vertues intellectuelles deviennent en quelques secondes le roi des cons. Pourquoi, comment ? Et bien la jalousie peut être ? Où une impression de "quand même il en fait trop", à dire vrai je crois qu'il y aurait beaucoup à dire sur ce type de transformation qui rend notre petit canard (qui peut aussi mesurer 1M90) encore plus seul qu'avant ! Maintenant public, et si tu es un petit canard, répond, étale toi, répand toi sur mon blog (enfin...).

Et maintenant...

Fact 2

Le fact 2, petit événement qui m'a fait bien plaisir, toujours dans l'école. Quelqu'un a dit soudain : "j'aime la vie". Bon là je ne vous explique pas la face de décomposition de certains qui se demandaient "mais qu'est ce qui lui prend, elle à fumer un arbre ?". NON mesdames et messieurs, cette personne à surrenchérie "rien, je suis heureuse" (c'est une femme, cela joue t-il dans l'expression de ce sentiment ?) suivi d'un "je trouve dommage qu'on ne dise pas quand ça va bien alors qu'on est toujours les premiers à se plaindre". C'est vrai de constater qu'on est pas souvent témoin de ce genre de "déballage" en public, et à tort selon moi. Parce que moi, j'en veux encore des gens qui me disent ça, oh oui, encore...

A un point que je lui aurais bien fais une bise moi à la demoiselle, mais là je ne vous parle pas de la tronche des spectateurs alentours..."oh mon dieu des bons sentiments, du bonheur, fuyons..."

Voilà pour toi public, régale toi et réfléchis (surtout si tu es un petit canard). Bientôt dans ces pages une tirade de mon cru sur l'intelligence et sa toute relativité.


PS : commentez braves gens, commentez morbleu plutôt que de me donnez votre avis sur msn, il m'intéresse, et intéresse les autres. Ne soyez pas petits canards !

lundi 18 juin 2007

Celui qui pestait...

Oh toi public tu vas être témoin de ma foudre (limite divine) qui va s'abattre de la manière la plus cruelle sur... l'école où je suis présentement. Les maîtres mots étant hypocrisie et mauvaise gestion. Qui ont fait d'une école privé un monument d'erreurs.

Retour en arrière :

j'ai changé d'entreprise et ai réussi à conserver mon statut d'alternant dans cette nouvelle entreprise afin de finaliser mon diplôme (à 3 mois près d'un bac +3 ça m'aurait bien fait souffrir d'"abandonner"). Bref, ceci ne s'est pas fait sans mal et l'école, l'entreprise et moi avons du faire des concessions. De mon côté et de celui de l'entreprise tout allait bien. En revanche pour l'école...Grand dieu perdre une centaine d'euros par mois est une gageur. D'autant plus lorsqu'on entend sur les ondes les messages publicitaires et qu'on voit les affiches vantant l'école dans les transports en commun (chose qui doit être relativement coûteuse dans mon esprit, ce qui indique une certaine santé financière...). Passons, on ne devient pas riche en donnant à outrance, c'est bien connu.

Mais là où j'hurle à la mort tel un loup égaré dans la taïga (ça ne vous parle pas peut être ?) c'est que j'avais constitué un planning de mes absences à l'école pour pouvoir planifier mon travail. Hors, on me dit que ce jour - celui où je vous parle aujourd'hui - les cours sont indispensables. Comprendre que les gens passent le DESS et qu'on sera 3 pélerins en cours... indispensables ? Alors que j'ai facile 36.8 tonnes de travail à faire en entreprise (la précision est un signe d'énervement chronique).

Donc, à qui l'entendra, je CONCHIE ROYALEMENT cette école, et mon courage sans faille ne m'autorisant pas à divulger de nom je tairais cette information (ouais j'ai peur de rien moi).

A bon entendeur (oui oui vous vous en foutez).

Autrement, il convient de préciser que je ne suis pas dans ma meilleure forme, pour ne pas dire une mauvaise passe, mais mon talent d'acteur fait l'affaire. Bientôt sur vos écrans "comment j'ai fais croire à tout le monde que j'allais bien". On remerciera aussi le boulot qui me prend du temps et mes pensées. Je ne le dirais jamais assez, sans travail on à le temps de réfléchir à ce qui pourrait nourrir une éventuelle dépression.

dimanche 17 juin 2007

Celui qui se rendait compte...

Bonsoir cher public en ce jour de fin d'élection législatives pour te dire qu'en fait la politique...euh non, je ne vais pas parler de ça, pour changer, parlons de moi, et puis de moi un peu, et qui sait si le coeur m'en dit peut être parlerais je de vo..moi...

Moi donc, ai relu mon texte et constaté la présence d'un commentaire de mathieu (dédicace grand gourou de la souris) suite à la poursuite de mon bout de texte. Là je me suis bien rendu compte que ce que j'avais écris était merdique, voire à en vomir. Donc je ne m'étonne guère qu'on n'ai pas pris le temps de lire cette infâme bouze, et d'ailleurs gardez vous bien de le faire !

Sur ces belles paroles je m'en retourne vers mon ennui le plus profond.

jeudi 14 juin 2007

Celui qui avertissait

Bonjour oh toi public glorieux et magnifique...

Juste (et autre chose ensuite) pour t'avertir public qui à mon msn (tu es prvilégié et tu le sais n'est ce pas ?) que si tu reçois un mail de moi disant que "badoo.com c'est méga de la balle inscrit toi". Sache que je ne pense pas du tout cette phrase pour ne pas en être l'auteur, c'est un message automatique qui s'envoi dès que l'on s'inscrit sur badoo.com (et je me suis inscrit puisque je me suis fait avoir aussi !). Voilà, es tu toujours aussi privilégié du coup !

Au demeurant, question compte triple : "Où se situe la frontière nette entre copin(e) et ex ?". Et un bonus track : "A partir de quel point peut on dire - je suis sortis avec elle/lui ?". voilà vous avez 4 heures(pour les deux, oui je suis infâme).

Et pourquoi toutes ces questions, et bien parce que l'hypocondrie suprême n'est pas dans l'abstinence correllative d'une translation proportionnellement exercée...implacable je sais.



Edit : j'avais presque oublié : n'ayant reçu aucun écho concernant mon écrit du billet précédent j'en conclu que mes inepties ne vous ont guère faites écho. Et je ne vous jette pas la pierre Pierre (et les autres aussi). Je ne réitèrerais donc pas l'exploit quasi quotidien qu'est la ridiculisation automatique de ma personne. Très cordialement.


Charly

dimanche 3 juin 2007

Celui qui écrivait...

Bonjour à tous,

suite à mon petit sondage j'ai décidé de vous envoyer un chèque de 500 € à chacun...Ahahah j'en vois d'ici sautiller de joie et bien NON, pour votre peine au contraire je vais écrire, plus, et continuer à vous pourrir des mes maux/mots. Dans tous les cas je remercie ceux qui me lisent, et ceux qui ont joués le jeu. Pour toi public la suite (mais pas la fin !) de mon écrit "4036 L'odyssé de l'espèce".


[…] Je n’ai pas dormi, encore, c’est à se demander comment font les autres pour trouver le sommeil. Et si les somnifères étaient une solution dans l’immédiat ? «T’es con Kalro, on défend un idéal qui supprimerait toutes ces conneries, alors fait pas ta chochotte » C’est sûrement ce que m’aurait dit Malek, pas toujours fin dans ses propos mais ça remet toujours en place quand un bonhomme d’1M90 vous regarde droit dans les yeux avec la voix si rauque qu’elle vous fait trembler de l’intérieur. En tout cas faire ma chochotte c’était vite dis, je ne me vois pas avec mes 24 ans tout mouillé réussir cette mission […]

« Kalro, Kalro bordel, il est où ce gamin ! », Malek beuglait dans le hangar à ma recherche, caché entre les caisses de vivres j’étais terrifié mais je savais devoir sortir « Ici ! » répondis-je d’un air faussement assuré. « T’es le seul à pouvoir le faire gamin, il faut que tu sois fort, on te soutiens tous et Nalka restera à tes côtés ». On m’avait longuement expliqué le plan et chacun des « véritables » connaissait les dangers que cela représentait : « un saut temporel ! » avait crier Malek, content de sa trouvaille, mais Helke, le scientifique du groupe avait largement calmé ses ardeurs : chaque saut temporel nécessite une très forte énergie et surtout nous ne sommes pas certains des retombées de ce type de manœuvre. Malek avait grommelé quelques mots, on savait tous que ce n’était pas quelques considérations scientifiques qui le découragerait, pas après ce qu’il avait vécu… Un saut temporel donc, le but était de rétablir l’ordre tel qu’on le trouvait avant, où on trouvait encore arbres et oiseaux dans les rues et dans lequel – surtout – le conseil n’officiait plus. Et pour qu’il n’officie plus il fallait le supprimer, tout bonnement. Nalka et moi devions donc entrer dans les bâtiments scientifiques du conseil, pirater le système de saut dimensionnel, construit depuis des lustres mais hautement garder par les autorités. Une fois le saut effectué nous avions pour mission de supprimer les membres du conseil, un par un. « Pourquoi nous ? » me demandais-je au départ, et bien tout est une question de prise de risque. Le saut temporel entraîne des décalages visibles dans le futur, n’étant pas né Nalka et moi au début de la mise en place du conseil notre insertion dans ce monde réduirait les risques de distorsions. Enfin ça…c’était l’idée de base, après les tenants et aboutissants étaient laissés à notre appréciation. Même si je sais Nalka capable d’affronter bon nombre d’ennemis, je ne lui présentais pas l’âme d’un saint-bernard prêt à me sauver au moindre souci. Au contraire, je devrais me débrouiller seul, et l’accompagnement bonus de Nalka n’est pas réellement nécessaire, une personne seule pouvant activer la porte dimensionnelle mais quand il s’agit d’abattre les gardes qui protègent la porte je ne suis plus de taille…

[…] c’est le début, je vais y aller, je n’y croyais pas et pourtant je vais le faire, nous devons le faire. Cette mission est primordiale, à nous la liberté…Dès demain le monde sera tout autre […]

« Ecoute Kalro, c’est simple, vu ta stature tu te glisseras sans soucis dans les bâtiments, le plus dur c’est Nalka qui s’en chargera, mais je vous veux soudés ! ». C’est ce que j’avais fait, les murs des bâtisses n’étaient absolument pas adaptés à la fortification d’un base. Il faut dire que la porte temporelle était conservée dans une ancienne usine de fabrication de meubles. Facile donc pour Nalka et moi de nous faufiler dans les lieux et d’atteindre le bâtiment principal qui abritait la porte. Nous nous sommes arrêter stupéfait devant la porte : quatre gardes en tout et pour tout protégeait la porte, nous nous attendions à des régiments entiers de gardes surarmés ! Nous n’avions pas le temps de nous interroger, Nalka à abattu les gardes un par un avec une froideur qui la rendait de moins en moins humaine à mes yeux, les discours de Malek portait sans doute ses fruits. J’attendais son feu vert, sans regarder, nous passerions la porte une fois celle-ci configurée pour le saut. Le terminal de contrôle était lui aussi totalement libre d’accès, « une chance » avais-je pensé. Je n’étais pas armé – inutile avait considéré Malek puisque j’étais incapable de me servir d’une arme à feu - en revanche j’avais en ma possession le parfait petit kit du pirate de porte dimensionnelle, tout était prévu, et Helke avait largement mâché le travail : quelques câbles à brancher, et l’ordinateur envoyait automatiquement les données au terminal afin de détourner la machine à notre avantage. Même si nos camarades étaient restés proches du bâtiment la moindre alarme réduirait à néant nos chances et nos vies, pas le droit à l’erreur donc. La porte de la salle principale était ouverte, laissant apparaître un immense cube, sans aspérités, d’une hauteur d’au moins huit mètres, « c’est une porte ça » avais je questionné Nalka qui me répondit qu’il suffisait de s’approcher du cube pour qu’il nous fasse voyager. « Tu parles d’un voyage » avais je chuchoté. Deux minutes plus tard, le cube nous avait effectivement comme aspirer, personne ne savait comment le voyage en lui-même se passait et je pourrais difficilement décrire ce qui s’est passé puisque j’ai perdu connaissance, il s’en ai suivi un atterrissage plutôt difficile sur une plaque en acier. J’ouvrais les yeux, Nalka se tenait devant moi, bras en l’air. Une voix s’éleva « plus un geste, vous êtes en état d’arrestation ». Une chance hein…où une troublante coïncidence. Une seconde me suffit pour comprendre ce qui s’était passé, oui nous étions bien en l’an 2600, comme en témoignait la verdure environnante et l’accoutrement de nos assaillants. En revanche ma bêtise avait eu raison de notre plan…mon journal...le conseil….ma mission avait été découverte bien avant sa réalisation…

lundi 28 mai 2007

Celui qui comptabilisait...

Voilà, à force de dire des "pour toi public" je me suis demandé si ce fameux public avait une véritable existence, où si au contraire mon égocentrisme habituel m'avait poussé à croire que peut-être cachés, mes fans oeuvraient dans l'ombre (oui les fans font souvent ça...). Donc pour dissiper tout malentendu que seul un cerveau malade - torturé - psychotique est capable d'imaginer je vais te demander à toi qui lis ce blog de me mettre UN commentaire, rien qu'un, une ligne, un mot, ce que tu veux (tu peux même chanter la chanson des bisounours - je pourrais la supprimer ensuite, je sais c'est méchant). J'accepte aussi les signes de ponctuation, les travelers cheques et les paiement par carte...

Voilà, juste pour voir, combien de personnes me lisent, et si vous laisser votre pseudo (reconnaissable par mes soins de fin limier du web), ça sera cool, je pourrais vous envoyer un petit billet, voire deux si je suis dans un bon jour.

A votre bon com'

mercredi 23 mai 2007

Celui qui conjecturait...

Bonjour à toi public, me revoilà de retour de Belgique pour un billet à l'intérêt très limité (comme tout ceux qui peuplent actuellement mon blog). Mais je te promet que celui là va déchirer le record de l'inutilité. Pour toi public, j'ai 2 remarques.

Remarque 1 : au hasard de mes balades dans les rues j'ai constaté parfois que les lampadaires étaient allumés (oui et ?) en plein jour (ah je me disais aussi là on touche le fond). Vous avouerez que c'est curieux, même si le temps n'est pas glorieux nous ne manquons pas à ce point de lumière. En parallèle, ce soir, sur le periphérique j'ai remarqué que les (*"!§&) d'automobilistes freinaient juste avant le radar fixe. Radar qui se trouve au centre même d'un creux, la logique veut donc qu'une fois la pente descendue et le radar passé nous accélèrons pour remonter la pente. Hors, dans mon esprit, les radars ont pour but de réguler la vitesse afin d'éviter une pollution excessive des abords urbains...GROSSIERE ERREUR ! L'accélération post radar implique une surconsommation d'essence induisant par la même un dégagement excessif de CO2. Pour information:
une conduite avec des accélérations et des freinages brutaux augmente de 20% la consommation sur route et de 40% en ville.

Et oui mes amis, on beugle pour l'environnement mais parfois, les bases ne sont pas acquises !

Remarque 2 : plus exactement, question numéro 2, y'a t'il dans l'expérience humaine une balance naturelle entre déceptions et bonheur ?

Exemple (cas totalement pris au hasard...) si une personne C. (tiens...) vient de vivre une quelconque déconvenue - déception et qu'en parallèle, il découvre une nouvelle "qui poutre grave sa maman"©. Se forme t-il un équilibre entre ces deux événements qui fait que le sujet ne sera ni triste, ni heureux ? Peut-on présuposé que cela diffère de l'individu et de sa nature à prendre plus ou moins le bon (ou le mauvais) côté des choses ? Mais quel est votre avis ?

A votre bon commentaire m'sieur, dames !

dimanche 6 mai 2007

Celui qui déménageait...

Bon déja explication pour l'arrivée tardive du précédent billet, blogger ne fonctionnait pas comme je le voulais, et il m'a fallu attendre 1 mois avant de publier le contenu du billet alors qu'il était prêt depuis bien longtemps !

Et je déménage... je déménage, parce que Mr Sarkozy est au pouvoir, il est 20h08 et une foule acclame un petit nerveux qui a fait du mensonge, de la manipulation d'image et de la colère son cheval de bataille. Je déménage parce que la France est en passe de devenir un pays raciste, un pays qui perd le nord, je n'étais ni pour Royal, ni pour Sarkozy, mais entre pire et pire je n'aurais certainement pas choisi un homme qui vise a imposé le berceau de sa dictature ! "que les élèves se lèvent lors de l'arrivé dans la salle du professeur"... C'est que je voudrais être là moi, lorsque les élèves des banlieues défavorisées vont "devoir" se lever...

Je suis dégouté je l'avoue par la tournure que prennent les choses, et par ce qu'elle peuvent prendre. J'ose espéré seulement, que les gens se rendront compte au moins d'une erreur qui à terme peut nous mener au fond.

Ce n'était pas tellement une campagne des idées, ni des partis, mais de la communication, a coup d'images, de meeting, et ça aura été celui qui aura le mieux maîtrisé son image qui laura emporté. On remerciera les médias qui auront grandement facilité le travail d'assainissement...

Remerciement donc à la toute puissante communication, celle que je connais moi en travaillant dans une agence de com'. Nous (vous) ne sommes pas des personnes pour un Nicolas Sarkozy, nous sommes une cible, le but sera toujours d'atteindre celle-ci. Et on sait trop bien ce que l'on fait d'une cible qui ne nous rapporte plus...

Celui qui allait en Belgique...

Comme certains d’entre vous le savent, ou ne le savent pas d’ailleurs, je suis parti quelques jours en Belgique afin de voir du pays, de me changer les idées. Oui enfin ça c’est pour le public, mais la version backstage n’a rien à voir. La vérité première étant que j’y allais pour rencontrer quelqu’un(e). Bref j’en ai tout de même profité pour découvrir Bruxelles (tant qu’à faire !).
Début du voyage minutieusement préparé par mes soins, une véritable stratégie de déploiement que l’armée m’envie. Tout était prévu. Départ 17h00 gare de Nantes en direction de…Br…Paris (oh le con). Paris oui il n’y a pas de train direct vers Bruxelles, de Paris ensuite on ira à Bruxelles. Mais d’abord…l’arrêt a Paris :

Il est d’intérêt public que les parisiens sont d’un naturel stressé. Et j’avoue ne plus m’interroger sur l’origine de cet état d’esprit. Diantre comment ne pas l’être lorsque le métro n’est autre qu’un GRILLE-PAIN GEANT, dans lequel on s’enfourne et on cuit, lentement, ballotté entre les arrêts pour en sortir moitié grillé du neurone, oscillant dans des couloirs qui ressemblent à des coursives d’hôpital. Bref, pas du tout fâché d’arriver à Paris Nord alors que je venais de Montparnasse (20 min de grille pain = 500 cellules irrémédiablement détruites).

De la gare j’ai attendu 1 heure mon train (Thalys en Belgique, le « méga plus rapide que le TGV d’abord »), en observant les passant, en appelant Christelle qui n’avait pas le temps de venir me voir puisque son emploi du temps de ministre ne lui permettait pas, ce que je comprends. Au demeurant ça m’a laissé du temps pour observer. Les gens, qui couraient, qui attendaient, et qui regardaient tout comme moi. Et surtout ça m’a permis de bien me fendre la trogne devant la démarche « canardesque » des militaires. C’est pas beau de se moquer je sais !

Donc embarquement dans le Thalys (fort moins beau que le TGV redessiné par Lacroix mais chacun son milieu, la frite ou le design on ne choisit pas toujours !) train dans lequel je décide de m’asseoir là où les deux sièges sont libres pour pouvoir m’étaler comme une bouse et ce même en ayant un siège réservé. Sauf que, deux mamies, avec un dialecte incompréhensible me regardent tels deux hiboux… Que faire ?! Moi concentré sur mon mp3 me voilà face à deux vieilles dont la ferme intention semble être de me déloger de mon siège (on comprend quand même hein… Grâce à l’intention !) . Un simple « c’est votre place ? » de ma part suffira à débloquer une situation qui fleurait bon l’incident diplomatique…Non je n’exagère pas !
Bref je m’assois à la place qui m’était réservé à côté d’un vieux grincheux de la vie qui m’avait l’air aussi accueillant qu’un croque mort (généralité quand tu nous tiens) . Je n’ai malheureusement pas pu dialoguer avec le personnage puisque de Paris à Bruxelles il y a 1h15 de trajet. Rapide, c’est rapide messieurs dames !

Arrivée à Bruxelles en avance…on ne verra jamais ça avec les TGV ! Pas le temps de me préparer psychologiquement à un débarquement sur les terres belges, ni même à la rencontre avec mon hôte. Claquements de dents, de genoux, de cheveux aussi (oui le cheveu claque !).

Mais tout se dissipe bien vite grâce à un numéro de Charly fort excité (non pas comme ça !) par la nouveauté ! Alors bon, là il faudrait que je détaille tout ce que j’ai fait, on va faire le tri, pas que j’ai fait énormément de chose, mais bon, ça va me prendre 20 pages… Déjà que…


Nous allons (je) résumer tout ça en une liste de ce que j’ai découvert :

1. Bruxelles c’est …pavé…pavé puissance 100, les routes goudronnées c’est moche c’est bien connu, le pavé donne du cachet à la ville, et bousille les semelles aussi…

2. Bruxelles c’est…ANIME, beaucoup, souvent, partout, du jeune, du touriste, du bar, partout, c’est génial. Ca donne envie de bouger son postérieur. Assez surpris aussi par la découverte d’un bar, tellement blindé que les gens restaient dehors, tout en profitant du volume musical haussé par les propriétaires. Non les mots nuisance nocturne n’existent pas là bas.

3. Bruxelles c’est…GRAND, la Grand-place notamment (quelle heureuse coïncidence !), magnifique place (pavée…) avec de grands bâtiments dont l’architecture en impose (et surtout rend horriblement laids les bâtiments rigides de nos architectures contemporaines). Les maisons ont ce même caractère d’une architecture passée ressurgissant dans la ville.

4. Bruxelles c’est…JOLI, avec de grands espaces verts, des fontaines, des pavés (oui encore), les lieux sont généralement très bien mis en valeur, et on est loin de l’oppression ressentie dans Paris par exemple. Malgré tout le métro bruxellois à une aussi bonne propension à rendre dépressif un clown, avec de grands couloirs vides (en l’occurrence pendant nos passages) respirant la froideur de murs carrelés (quand on ne pave pas, on carrèle !).

5. Bruxelles c’est hétéroclite : je cite la phrase d’anthologie d’un anglais à moitié ivre « tiens c’est une brasserie bruxelloise ici ». Enfin bref, beaucoup de mélanges culturels qui se retrouvent et se trouvent d’ailleurs dans les différents établissements. Ce qui fait aussi corps avec le côté très animé de la ville. Et ajoute un potentiel culturel énorme.


Le côté condensé de ces 4 jours rend difficile un rapport correct de l’intensité de ceux-ci, je crois que c’est du domaine de l’impossible, surtout pour moi qui aime étaler les choses.

J’ai aussi été voir une pièce de « ciné-théâtre » dont il faut absolument que je vous entretienne dans un prochain billet, pour essayer de vous donner l’envie d’en voir, à votre tour.
Détail qui a son importance, j'avais oublié mon appareil photo, et n'ai pas eu la présence d'esprit d'en acheter un jetable, donc pas de photos, et ça m'embête vraiment que de vous décrire quelque chose sans que vous en ressentiez la véritable essence.

Et au final, plus que Bruxelles, plus que les pavés, plus que la rapidité du Thalys, plus que l’effervescence de la ville, plus que les bons chocolats, plus que l’énorme choix de bières, plus que les bonnes gaufres c’est Maud qui m’a marquée le plus. Et là aussi il me faudrait un autre billet.

lundi 19 mars 2007

Celui qui se rappelait...


Bonjour à tous,

plutôt que de faire un billet sur ma découverte concernant les pubs Orange et SFR (elles utilisent la bande son d'un seul et même film, "The Eternal Sunshine Of The Spotless Mind" - à voir), et de vous rapporter toutes les inutiles réfléxions que ce type de "coincidences" m'évoquent je vais faire un billet sur la SNCF...

... ou pas (et j'en vois une surtout bien se marrer au fond de son appartement fraichement aménagé). Enfin ce billet sera plus ou moins lié en ce sens que je suis tombé sur ce bout de papier lors d'une fouille (quotidien dans ma chambre tout est tellement bien rangé).

Petit retour sur mes deux ans à Blois donc, pas mal de choses à dire :

Suite à une conversation avec une certaine M. (bientôt oui oui) j'ai pris conscience que ces deux ans m'ont un peu transformé, et m'ont changé en "adulte", un peu comme il est écrit sur ce billet. Et surtout, l'heure d'arrivée est inconnue, tout un programme donc. C'est fou le côté métaphorique du billet de train. Grand Corps Malade était bien proche d'une forme de réalité dans sa chanson "Les voyages en train" (à écouter au moins une fois aussi). Je passe sur le prix PROHIBITIF d'un tel titre de transport...

Blois m'a changé donc, ou plutôt ce que j'y ai vécu, professionnelement d'une part, puisque j'y ai appris mon "futur" job (touchons du bois) et que j'ai pas mal fait de retour sur ce que j'ai pu apprendre là bas considérant que maintenant je galère pour avancer, trop mauvais ou pas assez rapide, tout ce que je sais c'est quel'IUT de Blois manquait parfois d'efficacité dans son programme, trop vaste, pas assez ciblé. Il aura au moins eu cet avantage de me faire comprendre quelle voie emprunter. Enfin j'irais plutôt dire que c'est "ainsi", que je n'ai pas choisi grand chose, voire rien. Et il y a eu le stage où j'ai rencontré mon actuelle patronne m'intronisant ainsi dans quelque chose qui me semble être un cercle bien fermé !

Et puis évidemment les gens, Amandine, Florian, Christelle, Chloé (et ouais...), Anabelle (pas de Blois mais elle fait partie de "ces années"), etc... Tous ces gens donc, m'ont appris, leurs ai-je appris quelque chose ? Je pourrais faire une liste, mais ça serait ennuyeux et surtout un peu trop "private joke", juste de grands moments de rigolades, d'engueulades, comme un test de personnalité à grande échelle. Surtout avec une certaine Christelle (et OUAIS tu ne t'y attendais PAS !). Et puis une franche amitié avec Amandine, qui me manque terriblement maintenant qu'elle est loin, mais la savoir heureuse et épanouie me fait tout autant plaisir que de la savoir proche de moi. Et Florian, pas mal de trips aussi, et puis j'ai rarement sympathisé avec les garçons en tant qu'amis, donc c'est un fait assez rare pour être souligné !

Logiquement aussi il y a eu l'indépendance familiale, financiere ("ahhh putain la facture du mois de JUIN ! LA TUILE !"), tout un processus, assez transparent en fin de compte, qui aura eu tout un tas d'impacts dont je n'ai peut être pas eu l'écho aujourd'hui.

Du coup, là, en 2007, j'ai hate d'être mis devant ce nouveau processus d'évolution ! Et malgré certains points négatifs je sais que toujours je pourrais en retirer quelque chose. C'est un peu le jeu de la vie en somme.

dimanche 4 février 2007

Celui qui rêvait...

Bonjour à tous, pour un nouveau billet, concernant les rêves (j'en profite pour inaugurer mes nouveaux titres à la sauce "j'ai pas d'inspiration donc je copie tout ce que je trouve).

Ce billet donc pour faire suite à une réflexion de mon crue (narcissum narcisset narcisse a fond de balle et...oui ça ne veut rien dire mais le principe est présent). Ce matin je me suis rappeler un rêve de la veille et il restait encore assez frais dans mon esprit pour en avoir des images assez nettes et précises, voire même du domaine du palpable. La limite de la réalité s'arrêtait à cela qu'il n'était que rêve. Je me suis dis que ce serait génialissime, de mettre en forme, de "poser" ce rêve sur un papier, une image, une vidéo, un son même quelque chose qui matérialiserait cet objet de l'esprit qui, dans son essence même, n'a pas de palpabilité (mot compte triple).

Ça serait intéressant car parfois le rêve est si plaisant qu'on aimerait le refaire encore et encore. On voudrait bien en avoir l'inspiration là, a porté de rétine. En espérant que l'esprit fasse le travail qu'il avait bien accompli jusque là. Malheureusement et j'en suis conscient (fort pour un rêve) l'automatisme de création des rêves n'est pas encore disponibles dans toutes les crémeries. C'est en cela que j'apprécierais pouvoir figer mes rêves dans des "bulles" visibles à toute heure. Ces petits moments qui vous font vous réveiller dans une espèce d'extase.

Mais peut-on considérer que la beauté du rêve réside aussi dans son caractère éphémère ? Son côté furtif en faisant un plaisir rare.


ps : merci à M. pour son inspiration, et dédicace à sa "bretelle" qui m'a rendu heureux pour la journée !

samedi 13 janvier 2007

...pas la première fois..

Avant d'introduire mon nouveau billet qui me trotte dans le cortex depuis un moment, je tenais tout simplement à vous souhaiter une bonne et heureuse année, il était temps. Si j'avais omis ce point de détail, il aurait été certain que vous auriez eu une mauvaise année 2007..ça tient à peu de chose hein !


Enfin bref, premier post de 2007 qui fait suite à une conversation avec une fille sur msn, le sujet de la discussion « coucher dès le premier soir » (qui a fait « oooh » dans le fond de la salle ?).. On en parlait et justement je lui disais que de mon côté je ne trouvais pas ça très positif, parce que derrière cela pouvait avoir une mauvaise perception de la personne. En clair vous êtes qualifié de salope, rapidement et sans avoir rien demandé. Et le pire c’est que le parallèle masculin n’existe pas, couché le premier soir pour un homme relève plus du naturel.

Il en ressort donc que ce n’est pas tellement moi que ça dérange qu’une fille couche le premier soir (la vérité serait que ça m’arrange, elle n’aura pas le temps de se rendre compte de son erreur !), mais plutôt l’ensemble des gens, la société (encore elle oui monsieur !) qui nous dicte une certaine forme de conduite plus ou moins sous jacente.

Le parallèle peut être fait avec les années hippies où tout le monde couchait avec tout le monde, et ce n’importe où et dans n’importe quelle circonstance. C’est un parallèle intéressant parce qu’aujourd’hui c’est une hérésie que de penser l’acte sexuel comme aussi libéré qu’il le fut. A cause peut être des maladies et d’une certaine pudeur occidentale, liée aussi sans doute au christianisme et ses doctrines (pas de débat là dessus – SUPER DANGEREUX).

Tout ça pour en finir avec cette surprise : je suis aussi rentrer dans le moule (attention…) et ai fini par appliquer une idée qui ne me correspondait pas. Si nous hommes, et si n’importe qui veut coucher dès le premier soir, pour obtenir (un peu, beaucoup, pas du tout – rayé la mention inutile) de plaisir. Pourquoi diable nous priverions nous, d’autant plus que celui-ci est difficilement atteignable ?

Nous amorcerons cette nouvelle année par la phrase suivante : « couchons gaiement ».