Donc. Moi, Charly, 22 ans, semble-t-il a l'oré d'une vie neuve et pleine de promesses, est déja, en manque total de motivation et d'envie de poursuivre. Les recherches de jobs, les lettres de motivation (dénuées de motivation), tous ça m'énèrve rien que d'y penser. Je dois essayer de me construire un avenir dont je ne saisi par le quart du sens, ou de l'utilitée. Je sais ne pas être seul, mais ceci n'empêche pas cela. On m'a beaucoup répété que je réfléchissais trop, mais je suis incapable de me créer un mode pause, hormis quelques rares moments, et je ne parle pas d'alcool, je ne suis jamais plus lucide que lorsque je suis en état d'ébriété. Fort conscient de l'inutilité de la vie dans l'état où je la trouve aujourd'hui. Enfin devrais je dire de "ma" vie, il est vrai que la vie en elle même a des côtés positifs, côtés que j'occulte, le poids "rapport / qualité / prix" est peu voire pas valable selon moi.
C'est une doctrine chrétienne qui dit qu'il faut souffrir poura voir le droit à une once de bonheur...j'ai pas envie de souffrir et d'une, je sais souffrir, j'ai souffer, j'ai pas fini de souffrir (enfin ça c'est dans l'optique ou je continue un combat que je livre jour après jour contre ma connerie). Considérant cela et le fait que comme des millions de moutons je vais suivre le chemin du berger..Metro, boulot, dodo...on trouvera ici et là quelques à côtés nous permettant de croire avec une plus ou moins grande conviction en l'intérêt de notre réussite (sport, divertissements quelquonques).
Du coup, après une longue réfléxion, il n'existe qu'une chose qui peut valoir le coût, c'est l'amour..aaaah, bien bel promesse que cette phrase, l'amour...on sait tous que ça fait souffrir pourtant on se jete dedans, l'opium de notre société ce n'est pas la religion, c'est l'amour.... tous camé à l'endorphine (hormone du plaisir je précise au passage, celle-ci est délivrée en grande quantité lors d'un acte sexuel notamment).Je sais, j'ai su, que c'était bon, très bon un sentiment de total plénitude...qui dur à tout cassé une dizaine de mois...et qu'il faut - diablerie - entretenir...Je sais pas si ça vaut le coup de grimper au sommet du bonheur pour mieux en tomber ensuite. D'autant qu'on a déja de la chance si la mort n'y va pas de son grain de sel.
J'ai pas trop de solution à cet état pré-depressif, je crois qu'un bon coup de...de je sais pas quoi, m'aiderais.
Je crois que je devrais aussi me changer les idées, mais, encore une fois, et toujours selon moi. Ca ne risque pas de duré, et j'en ai vraiment PLEIN LE CUL de me traîner les même idées de merdes sans arrêts.
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